Les Particules :


Rappel

Dans notre parcourt au sein des 8 Univers, nous avons rencontré le Cube de Planck (le plus petit volume Univers) et sa forme dégénérée, l'Hexagone de Planck (la plus petite surface d'un champ). Ce dernier, malgré la présence permanente de la même face dans un Univers, comporte 12 sommets. À chaque extrémité se trouve donc un couple opposé de sommets, L'un dans un Univers, l'autre dans son opposé.

positionnement de l'Hexagone de Planck

Nous avons, alors, vu que les 3 sommets d'une extrémité de Corde de Planck flottent sur une des faces de l'Hexagone de Planck. Par ce biais et la position de l'Hexagone de Planck au sein de son Cube, je vous propose un développement vers les particules fondamentales de notre Univers (protons, neutrons, ...).

Cette architecture repose sur mes postulats de circuit, de dégénérescence et d'emboîtement des formes de Planck. À ce jour, aucun scientifique ne le propose, aucune étude mathématique ne la conforte, et encore moins, aucune recherche physique ne la vérifie et donc ne l'infirme ou la valide. À vous de vous en accaparer pour la soumettre aux flashs de votre intelligence, déductions et savoirs.


Dégénérescence

Le Cube de Planck est l'espace le plus petit possible. Je stipule, aussi, la source de notre espace : c'est le Néant. De aucune dimension, celui-ci s'est enflé en un hyper conteneur de notre espace quotidien. Ces deux présentations, nous conduisent à postuler le passage à une dimension supérieure, tout en gardant la même quantité, de tous les éléments dimensionnels (sommets, côtés, etc..) d'une surface normative, en gésine, mère du Cube de Planck.
En effet, si on considère que le cube de Planck est le plus petit volume de l'univers, par rapport à son temps ; alors, le passage vers la plus petite surface de l'Univers contracte les plans du cube en des droites, donc de 6 faces du cube on passe à 6 cotés d'une surface minimale. De ce fait apparaît un phénomène, purement quantique, les 12 arêtes du cube du Planck se contractent en des points, soit les 12 sommets des 6 côtés précédents, de cette surface minimale.
C'est pourquoi, toutes les extrémités des côtés de cet hexagone de Planck comportent 2 sommets, avec un seul plan (pas de, face et dos = 2 plans // et confondus), et en outre, chaque extrémités de corde de Planck comporte 3 sommets et non pas un comme dans le monde courant. Ce phénomène purement sous quantique, je le nomme dégénérescence, car c'est la contraction spécifique de chacun des constituants d'un minimum vers une dimension inférieure.

Cela aboutit à ma théorie de dégénérescence, d'abord en surface de Planck, ensuite en droite de Planck ; soit les sous quantiques au Cube de Planck, la norme référentielle de l'espace. Cette surface est un Hexagone de Planck, dont la face solitaire émane du volume, propre au cube de Planck, au cours de la construction des Univers. Ces 6 côtés deviennent les 6 faces de son Cube de Planck et ses 12 sommets, les 12 côtés du Cube. Il en est de même pour la Corde de Planck, dégénérescence de son Hexagone de Planck.

Ainsi le Cube de Planck, comme tout parallélépipède, présente "1" Volume en 3D°, "6" Faces en 2D°, "12" Cotés en 1D°, et "8" Sommets en 0D°.
  Par dégénérescence géométrique, donc en conservant les mêmes contingents mais redistribuées aux nouvelles dimensions, une surface de Planck présente "0" Volume en 3D°, "1" Plan en 2D°, "6" Côtés en 1D°, et surtout "12" Sommets en 0D° ! La surface minimale est donc un Hexagone de Planck, où l'intersection des côtés comporte, non pas 1, mais 2 sommets !
  De même, la Corde de Planck présente, 0 plan en 2D°, "1" corde en 1D°, et surtout "6" Sommets en 0D° (soit 3 sommets à chaque extrémité ) !

(Intuitivement, cette dégénérescence devrait découler de la caractéristique d'Euler - Poincaré ; or, avec mon faible niveau mathématique, je n'ai point trouvé de Lien.)
Mais comment envisager le rapport entre les matriochkas (poupées gigognes) de Planck et les particules ?
En passant par la géométrie d'un quantum d'énergie, puis par celle des particules et anti particules qui s'en dissocient.


Quantum d'énergie / quantum de matière

Nous savons que, lorsqu'un quantum de force électromagnétique se déplace, il engendre deux champs orthogonaux (un électrique, l'autre magnétique). Un quantum, pour moi, doit présenter des dimensions quantiques, c'est-à-dire de l'ordre de Planck.
Pour établir des champs de forces au sein de son Univers, ces champs se propagent et se dilatent sur l'empilement spatial des cubes de Planck. C'est pourquoi, les 6 sommets de la face de l'Hexagone de Planck associé à ce quantum, doivent occuper chacun, un des 8 sommets de son Cube de Planck. Ceci entraîne que des côtés de la face hexagonale soient confondus en longueur, avec les côtés contigus du Cube.
Comme la face de l'Hexagone de Planck d'un quantum de force se répartit sur l'ensemble des sommets de son Cube, il est indispensable qu'elle soit dédoublée orthogonalement. Car la face hexagonale engendre un artefact orthogonal ; celui-ci est dû aux deux sommets opposés et non localisés de l'hexagone dans le cube. Pour cela, chacun de ces sommets délocalisés, va se déplacer en permanence entre les deux sommets non occupés d'une même face (soit la haute, soit la basse) du cube de Planck. Ce qui donne un artefact d'hexagone aux 6 sommets virtuels.
La face hexagonale supporte les 3 sommets d'énergie de l'extrémité de la Corde de Planck. Et son artefact quantique en supporte la conséquence par une vibration, artefact orthogonal de la force amenée par cette corde. D'où, un quantum d'énergie est la combinaison de la face (d'univers) de l'hexagone de Planck et de son artefact orthogonal associé ; et il présente une longueur, pour ses côtés, égale à ceux de son Cube. Ainsi, le quantum d'énergie s'étale sur trois Cubes de Planck, car (sur la direction de déplacement ou de giration) deux de ses sommets, en opposition, débordent de son Cube, dans les Cubes haut et bas.
L'extension des champs est due à la mise en "vibration" des cotés en parallèle, des cubes adjacents. On retrouve, alors, la nature combinatoire, onde-corpuscule.

positionnement d'un quantum d'énergie

À l'inverse, un quantum de matière va se placer en totalité et, donc, occuper un seul cube de Planck ; d'où sa masse due aux chocs et bousculades nécessaires pour vibrer et se mouvoir dans cet empilement spatial des cubes de Planck.
Mieux, la face de son hexagone ne peut prendre que 3 poses, à l'identique des trois générations pour les fermions, telles que l'électron, le muon (-) et le tauon (-) ; soit les 3 saveurs d'une particule matérielle.
La valeur du spin permet alors de déterminer la particule appropriée.

positionnement d'un quantum de matière


Un début de preuve : les spins

D'après ma théorie, un fermion n'occupe toujours qu'un hexagone de Planck. C'est-à-dire les particules quantiques de matiére que sont : les électrons, les neutrinos et les neutrons ou les protons (des assemblés de quarks) sont des hexagones de Planck. Or, tous les fermions (particules fermes) ont un spin de ½, et aussi les protons et neutrons (composé de trois quarks indissociables en dehors de leur nucléon). Ainsi pour tous fermions et nucléons, nous nous retrouvons donc en réalité, avec un spin soit de +½ soit de -½ ; au lieu de se retrouver avec un spin, commun à toute figure classique dont l'hexagone, de 1 (un retour à droite) ou de -1 (un retour à gauche).
En effet, pour conserver à l'identique cet hexagone de Planck, si vous faites subir une rotation de 360° à cet hexagone d'un fermion ou d'un nucléon, vous n'avez déplacé d'un tour complet qu'un sur les deux sommets dans les six couples d'éminences pour cet hexagone quantique. Vous n'avez réalisé qu'une demi-rotation ; il vous faut une deuxième rotation de 360° à appliquer à chacun des autres points dans les six couples de sommets extrêmes. D'où la présence d'un demi-spin, au lieu d'un spin entier commun pour un tour de 360° (comme déjà écrit à la page précédente). Ainsi, les spins fractionnaires auraient un sens physique concret.
Pour cela, permettez-moi de vous reconvier à un voyage vers cette face obscure de Planck (vue précédemment). Vous êtes dans un local quasiment cubique ; si votre pièce subit une rotation de 360°, par rapport à votre axe vertébral, rien ne vous indiquera ce changement, pas même l'éclairement externe. Maintenant, transformez le volume de la salle en une surface. Les murs, sol et plafonds en sont les côtés de cette nouvelle surface. De même, les 12 renfoncements linéaires de votre loge se transforment en 12 sommets répartis aux extrémités des six arêtes de cette nouvelle surface. Une rotation de 360°, par rapport à votre centre vertébral, vous donnera alors, un éclairage différent en polarisation ; car vous n'aurez tourné que les six sommets en opposition, sur les 12 (les anciens liserés de votre gîte) ; il vous reste un tour supplémentaire de 360° pour retrouver à l'identique l'éclairement externe de départ.

Lors de la dégénérescence de votre local, son volume unique est devenu un seul plan, or un hexagone comme toutes surfaces, il a deux faces, la deuxième n'est donc pas de notre monde !
À l'inverse tous les bosons, qui sont les (bosseurs) particules de forces, ont un spin entier de 1 donc ils prennent place dans un cube de Planck (un sommet par éminence), plus exactement ils se déplacent sur les cubes de Planck de périmètre en périmètres adjacents.
Cependant, certain physicien attribue au graviton, boson hypothétique transporteur de la gravité, un spin double. Si c'est le cas alors le graviton serait la seule particule existant dans l'Hyper-Univers, le conteneur des huits Univers des particules en trois dimensions supports. Le support de déplacement du graviton serait l'Hypercube de Planck. Non seulement le graviton serait la particule liant les huit Univers, mais c'est elle avec son rapport aux bosons de Higgs de chaque univers et à leur limite infranchissable de vitesse qui déterminerait l'échelle de Planck.
Quant aux bosons de Higgs, ils auraient un spin nul, bien que de charge spécifique à la particule concernée (autant de bosons de Higgs que de particule, ou un seul boson mais se liant plus ou moins fermement selon le spin et la charge de la particule spécifique). Le spin nul des bosons de Higgs signerait la rigidité du pavage des Univers par Cubes de Planck (les forces se propageant à leurs périphéries) ; plus exactement toute particule incluse (en surface ou en profondeur) dans un cube de Planck se voit figer plus au moins, par le cube de Planck qui est un boson de Higgs.
Rappel, la Dégénérescence dimensionnelle s'applique aussi aux quarks positionnés aux extrémités d'une corde de Planck, qui est une dégénérescence d'hexagone de Planck.


Champs d'énergie

positionnement des champs d'énergie

Cette figure représente l'extension d'un quantum d'énergie (à un moment donné de son déplacement). Le quantum est figuré par le couple d'hexagones orthogonaux en noir. Les champs de forces orthogonaux, occasionnés dans l'espace des Cubes de Planck (Volume de l'Univers), ont une extension plane, de propagation circulaire, d'une face de l'Hexagone de Planck ou de son artefact associé (constituants du quantum).
Maintenant, nous pouvons aborder le placement, dans la face de l'Hexagone de Planck, des 3 sommets d'énergie de l'extrémité de la Corde de Planck ; à l'origine des particules de notre Univers.


8 Rosaces en hexagone

Un hexagone de Planck comprend 6 secteurs de placement, pour l'un des 3 sommets d'énergie de l'extrémité de la Corde de Planck. Chaque secteur part d'un des côtés de l'hexagone et tous se répartissent autour du centre de l'hexagone.
Avant de se pencher sur l'occupation des secteurs par un des trois sommets de l'extrémité d'une Corde de Planck ; il est bon de se pencher sur toutes les configurations d'occupation des secteurs. Chacune de ces configurations donne une rosace en hexagone. Une rosace, ici, est juste un pavage circulaire fermé ; beaucoup plus simple que les rosaces, étudiées par Leonard de Vinci, qui ornent nos cathédrales. Cette étude de rosace sera reprise dans l'étude des pavages.
En opposant les rosaces d'hexagones, par leur complémentarité en occupation de secteur, nous dévoilons deux groupes de huit rosaces. Chaque groupe de rosaces peut être perçu en un circuit ; ce qui nous révèle leur seule richesse, les 8 couples complémentaires. Et en particulier, le seul couple chiral, avec les 101, le Gauche et le Droit.
Ce couple chiral (les 101, G et D) est un des trois couples configurés avec seulement trois secteurs occupés (100, 101, 110). Pour ces derniers, distinguons-les alors, en trois architectures de placement ternaire, et donc retenons-les, pour placer les trois sommets d'énergie.

les différentes Rosaces en hexagone


L'extrémité de corde

Après l'exposition des différentes rosaces d'hexagones, en négatif ou positif ; auscultons, plus précisément les trois couples ne présentant que 3 secteurs occupés, chacun, par un des 3 sommets de l'extrémité d'une Corde de Planck.

La 1ére rosace voit sa triade répartit régulièrement. Sa négative est, elle-même, tournée d'un sixième de tour. Cette rosace présente le plus de symétrie. Elle est, donc conforme à un plan mini d'énergie.

La 2éme rosace en triade voit deux de ses secteurs, contigus. De plus son négatif, tourné d'un sixième de tour, est différent ; c'est son miroir. Telle une main gauche et une main droite, leur différence permettent d'exister au sein du même Univers. Or seulles les particules matérielles et leur anti particule, présentent cette propriété. Ce sont donc les plans de quantum de matière ou leur anti particule.

La 3éme rosace en triade présente un seul axe de symétrie perpendiculaire à l'axe de polarité négatif - positif. Son négatif, tourné d'un demi-tour, est alors identique. Ne pouvant être particule d'énergie ou particule matérielle, je ne vois que la représentation de plan mini de particule de matière noire. À cette dernière, je lui attribue une action d'anti gravité, due à l'impossibilité d'établir une polarité. De cette propriété de la matière noire, résulterait leur répartition prépondérante autour des galaxies, et de manière plus importante, autour des amas de galaxie.

Les 3 sommets dans un hexagone

En effet, la masse des particules provient de l'interaction avec des bosons de Higgs. Le photon n'a pas de masse ni d'inertie, je fixe alors que le plan mini d'énergie est en interaction avec les bosons de Higgs d'une valeur = 0.
À l'inverse, pour le plan mini des particules matérielles et leurs antiparticules, je stipule qu'ils sont en interactions avec des bosons de Higgs de valeur 1 ; d'où leur masse.
Et enfin, je suis persuadé que le plan mini des particules noires est en interaction avec des bosons de Higgs de valeur -1 ! C'est-à-dire que les particules de matière noire ont une anti-masse. Cette anti-masse provoque une répulsion gravidique avec les particules de matière, mais dans une direction absolue (/ Univers) opposés selon que c'est un quark ou un anti quark. Ce qui aurait condensé très rapidement toute l'antimatière en nos trous noirs super massifs tout en diluant uniformément la matière ; pour ensuite sous l'action attractive de ses supers trous noirs (d'anti matière !) de construire les galaxies et les amas.

Dans le cadre des Univers super symétriques les bosons de Higgs présentent des valeurs aberrantes pour notre Univers.
Les quanta, des Univers supersymétriques, d'énergie ou d'anti énergie ou de tachyon ou d'anti tachyon, en interactions avec les bosons de Higgs, voient ces derniers prendre une valeur de 1/0. Ceux qui sont en interaction avec les particules matérielles supersymétriques prennent une valeur de 0/1. Et prennent une valeur de -0/1, pour ceux qui sont en interaction avec les particules super symétriques de matière noire. Complètement inconcevable dans notre Univers !
Cette réflexion se poursuit avec la multiplicité des solutions (6 à 8) pour les cordistes ; chaque résultat doit correspondre à la vision, à partir de notre Univers, des triades de matriochkas de Planck dans un des sept autres Univers. Il suffirait de trouver quelle est la solution pour notre Univers, et d'appliquer le cadre mathématique et géométrique de chacun des autres Univers aux autres solutions, pour trouver leur similitude.


Le pavé normatif

Platon dans la Timée, démontre que tous ses solides et figures régulières sont la composition d'un couple de triangle rectangle duaux. Lorsqu'ils reposent, côte à côte et sur l'un des côtés de l'angle droit ; l'un est lévogyre, c’est-à-dire l'angle opposé à l'angle droit, est à gauche du lecteur ; l'autre est dextrogyre, c’est-à-dire l'angle en opposition de l'angle droit, est à droite du lecteur. Ceci résulte que la triangulation de toutes surfaces est décomposable en deux triangles rectangles duaux : triangulation duale.
  Des figures sont énantiomorphes, lorsque leurs transformées spatiales ne peuvent pas se superposées, tels les silhouettes d'une main gauche et d'une main droite. Ainsi, un polygone peut être décomposé avec l'opération de deux triangles rectangles énantiomorphes, qui dans ce cas sont duaux. De même, SCHLÄFLI a démontré que tout polyèdre (en 3d) peut être décomposé en tétraèdre bi-orthogonal ; ces tétraèdres spécifiques peuvent être énantiomorphes que si le polyèdre n'est pas équilatéral. Dans le cadre équilatéral, la différence entre le triangle rectangle énantiomorphe et le tétraèdre bi-orthogonal isométrique (= superposable), impose que la différenciation d'une particule d'énergie en fermion et anti-fermion, ne peut se concrétiser que dans un plan ; si les monades quantiques (donc équilatérales) existent.

Or, dans nos trois couples complémentaires de placement ternaire, les secteurs de placements sont des triangles. L'hexagone de Planck est donc, une rosace de 12 triangles rectangles accouplés par duaux. De cette façon nous retrouvons bien les deux faces de l'hexagone de Planck, chacune spécifiques à son Univers : soit triangulation duale de l'hexagone, soit triangulation duale négatif de l'hexagone.
Tout hexagone est bien, alors, la composition de 6 couples duales de triangles rectangles (mais ici, tous de proportion identique).
  Pour définir les oppositions de bords de tout hexagone, toute figure, qui triangule la case normative de pavage (= hexagone) doit donc être réduite à un trio de triangles duaux : triangulation hexagonale, d'où son ancrage dans l'hexagone de Planck.
Ce chapitre va me permettre, de mieux définir géométriquement les nucléons atomiques. En effet, non seulement l'hexagone peut être triangulé en face de face, ou en dos de dos ; mais en plus le 1/4 de tour du trio dans l'hexagone conduit, soit à l'orthogonale de la faceorthogonale de face, soit à l'orthogonale du dos orthogonale de dos. Car dans une case hexagonale, une même figure indépendante (centrée et en triangulation), en plus du couple face-dos, peut être donc positionnée par orthogonalité, avec une rotation d'angle droit.


1 face / 1 Univers

Comme chaque couple de triangles rectangles duaux, occupe un secteur de l'hexagone de Planck, et que les trois sommets d'une des extrémités de sa corde de Planck flottent à sa surface ; nous avons 8 configurations possibles pour la face hexagonale. Précédemment nous avons déterminé l'existence possible de 8 Univers au total, aussi à 1 Univers correspond 1 face typique d'hexagone de Planck.
Ainsi, pour un Univers donné on détermine non seulement les 12 emplacements possibles pour les 3 sommets de la Corde de Planck, mais en plus les positions relatives de ces 3 sommets, avec leur polarité.
La face doit être vue comme le damier spécifique à un Univers, sur laquelle se placent les pièces. Ce carroyage indique juste les règles de placements des 3 sommets d'une extrémité de corde de Planck.
Considérant que la face 000) correspond à notre Univers, alors ce plateau de jeu indique : que dans le sens courant de lecture, les secteurs bleus, vert et rouge se suivent dans cet ordre sans dédoublement frontalier ; que chaque secteur comprend deux zones siamoises, mais qu'un seul des 3 sommets peut occuper une de ces deux zones duales ; et que l'alternance des triangles rectangles clairs avec les saturés, se poursuit dans le sens de lecture.
Sur ce quinconce ne se placent donc toujours que les 3 pièces et de manière duale. C'est-à-dire que vous avez soit des tours et reines si c'est le placement d'une particule, soit des cavaliers et rois si c'est pour une anti particule. Mais, dans chacun des cas avec deux possibilités ; pour la particule : 2 tours et 1 reine ou 2 reines et 1 tour ; et pour l'antiparticule : 2 cavaliers et 1 roi ou 2 rois et 1 cavalier.

Les 8 faces dans un hexagone


Les quanta

Maintenant, attribuons à notre Univers cette face d'hexagone de Planck : La face de notre hexagone.
Les 3 sommets, vont chacun occupé un des 6 secteurs ; d'où 3 grandes possibilités : les 000 noire, les 000 neutre, et les exotiques 000 exotique. Cette dernière est exotique car tout en respectant la position relative des 3 secteurs, le secteur solitaire n'est plus en correspondance avec le secteur d'origine(, en plus d'être géométriquement dual).
Les 000 neutre, et les 000 exotique, par rapport au premier, sont liés d'une manière orthogonale. En effet, dans les 000 neutre définissons exactement les trois sommets en triade duale, soit 000 neutron, et dans sa face hexagonale tournons-les de 1/4 de tour, nous obtenons bien alors un du troisième, soit 000 proton ; il se place bien en un troisième type 000 ortho de manière orthogonale.

Même, si 000 neutron est en ordre de lecture avec la face hexagonale de son Univers La face de notre hexagone, il n'en est pas pour autant en concordance pour deux de ses trois sommets. En revanche pour son 1/4 de tour 000 proton, deux de ses trois sommets sont en harmonie avec la face de l'Univers La face de notre hexagone, et ont leur secteur en frontalier 000 ortho.
C'est pourquoi le 000 neutron est le Neutron, tandis que le 000 vrai proton est le Proton.
Ce dernier, du fait que son antiparticule (aPt) est duale au proton (Pt), il ne se désintègre pas, même lorsqu'il est libre et donc sans la protection du noyau ; à l'inverse du Neutron. En effet le proton (Pt) et l'antiproton par recouvrement ont un secteur distinct l'un de l'autre à l'inverse de l'alignement parfait des secteurs du neutron (Nt) avec ceux de l'antineutron (aNt).

Le tableau récapitulatif suivant, vous permet de promener votre intelligence dans cette proposition des quanta.

Le Neutron (Nt) est bien caractérisé par la corrélation éternelle de 2 quarks down (a) et 1 quark up (u), et le Proton (Pt) par 2 quarks up (u) et 1 quark down (a) ; alors, dans ce cadre, le (u) correspond à un quark et le (ù) à un antiquark : de saveur up, charm, ou top ; tandis que le (a) correspond à un quark et le (à) à un antiquark : de saveur down, strange, ou bottom. L'antineutron (aNt) et l'antiproton (aPt).
Avec, pour la particule de matière noire, les (x) pour désigner les 3 sommets avec la même famille de saveur, les x, car il n'existe pas de famille y.
Le passage du neutron au proton permet d'établir des possibles pour le neutrino (No), pour l'électron (Elect) et son inverse le positon (Posit), ainsi que pour le photon (Pht) quand il est local.

Quantum et hexagone

Nous avons débusqué le quantum d'énergie répartie sur 3 cubes de Planck et les plans mini des nucléons et des anti nucléons. Cet Hexagone de Planck d'énergie, est parcellé en deux hexagones matériels et opposés ; par la nécessité pour chacun d'une face hexagonale de Planck de placement, dans leur Cube de Planck respectif.
La masse de chaque type de quark est due à la position de la face de l'hexagone de Planck par rapport au Cube de Planck, c'est-à-dire la saveur ; mais aussi du placement de son secteur dans ce plan hexagonal. il suffit de se rappeler que l'énergie est portée par un quantum de champs sur trois Cube de Planck ; à L'inverse des particules tangibles qui, elles, sont cantonnées dans un Cube de Planck. C'est donc un secteur de particule matérielle et non pas d'un quantum de champs.

Nous observons un remodelage des secteurs, ce qui confirme le besoin d'une puissance élevée (à partir des rayons gamma) pour obtenir des paires de particules matérielles opposées ; mais aussi l'inévitabilité de la participation d'un catalyseur natif dans la soupe du Big - Bang, les particules de matières noires. Celles-ci vont tamiser et donc démêler localement, les nucléons des anti-nucléons.
L'incoercibilité de l'indivision, en trois quarks, des nucléons est imposée par la relation entre les 3 sommets d'une des extrémités de la corde de Planck et la face hexagonale de Planck pour notre Univers.
Cette dernière propriété impose à la triade de quarks, d'appartenir à la même famille de saveur (3), pour éviter la vibration de la face de l'hexagone de Planck par rapport au Cube de Planck. Dans le cas d'une mixité des familles de saveur, la particule à une durée de vie très restreinte, ainsi il ne peut exister que trois types de neutrons (ou protons) stables.


Du Neutron au Proton

La transformation des quarks d'un Neutron (isolés ou en correspondance avec un nucléon) en Proton, implique de l'énergie dissipée sous forme d'un Photon. Mais nécessite, aussi, le changement de la position interne des quarks ; ce qui se traduit par un Neutrino. En outre, elle engendre l'émission d'une particule électrique, l'Électron, pour compenser l'apparition de charge positive du Proton.

Nota, le Neutrino (et ses jumeaux, ils sont trois), vu son schéma, apparaît à la fois comme une presque particule matérielle (avec plan de placement mais sans définition de chaque secteur) et comme un presque quantum d'énergie (pas de surface champ artefact).
De plus les particules matérielles opposés et duales en secteur, soit le proton et son anti proton, soit l'électron et son positon, sont quasiment éternels.


L'Atome

Le Proton, issu de la désintégration du Neutron, est en relation avec les champs électromagnétiques ; quoique son déplacement s'effectue comme le Neutron. Dans un proton, la liaison, avec les champs électromagnétiques, impose aux deux Cubes, situés à l'une des extrémités cubique du proton, d'avoir une particule neutre (neutron) pour être en corrélation avec le Cube du proton ; sinon avec un cube quantique d'espace inoccupé et sans charge électrique. Par ce biais, le proton peut être uni avec deux neutrons, au maximum. Mais il existe d'autre lien.
Autant, deux neutrons peuvent être liés par leur axe électromagnétique puisqu'ils sont neutres ; autant, deux neutrons ou deux protons peuvent être accouplés, mais uniquement sur l'axe de leur spin. Ce qui étend les possibilités d'agencement du noyau.
Car, le spin du nucléon doit être dans l'axe central de sa face d'hexagone de Planck, sa direction étant automatiquement établi par cette face dans le cube de Planck ; et c'est pourquoi le spin d'une particule n'est pas sa rotation mais la présentation de son unique plan, la face hexagonale liée à son Univers.

Comme tous protons fuient les liens avec ses congénères, ils ne peuvent s'aligner que le long de leur spin. Et la contraction visuelle de l'alignement des gouttes nucléaires du noyau conduit aux différents agencements, décris dans les 8 familles de cristallisation.
Les noyaux atomiques sont alors l'agencement de gouttes nucléaires composées, au maximum, d'un proton ceinturé, sur ces trois axes orthogonaux. Le lien du proton par le champ électrique disposé sur trois cubes de Planck, est plus solide que le lien par son champ magnétique frontalier ; lui-même est plus résistant que le lien par l'axe des spins.Cette triade, de liens différents entre le proton et ses voisins, établit un circuit des structures primaires du noyau.
Celui-ci, par leurs agencements nucléaires, conduit aux différentes structures atomiques du tableau de Mendeleïev. Ces trois liens nucléaires sont la triade de construction, en huit structures, d'un proton avec zéro à six frontaliers (les 6 faces du cube protonique, avec sur chaque axe un lien spécifique différent : de charge, ou magnétique, ou de spin).
Les fragilités des trois types de lien permettent l'existence d'isotopes, mais aussi la possibilité de fusion ou de fission selon l'atome.


Les Noyaux Atomiques

Un deuxième agencement possible est la mise en réseau cubique centré, comme dans le diamant, de quatre faces en hexagone de Planck. Chaque face est orientée vers l'extérieur du Cube de Planck. Quatre faces hexagonales, partageant deux à deux un même côté, construisent l'arrangement le plus compact possible dans un cube.
Ceci implique en premier que l'assemblage de deux à quatre nucléons maximum, au sein d'un Cube de Planck, rend quasiment indestructible l'ensemble. Cet emboîtage maximaliste constitue alors, la base des noyaux atomiques ; mais surtout représente le noyau atomique le plus élémentaire. Ce quanta de matière résulte de la mise en commun de leur Cube de Planck pour quatre hexagones de Planck en fonction de leur saveur commune. Lorsque ce quarté nucléaire est isolé en ce germe nucléaire, ses nucléons ne peuvent, au maximum, être que deux protons et deux neutrons pour la premiére saveur, la plus courante, en transat. les électrons peuvent être accouplés sur une même orbite et dans ce cas un neutrino ou deux seraient les bienvenus.
Mais, lorsque cette escouade nucléaire côtoie d'autre Cube de Planck nucléaire, au sein d'un noyau atomique complexe, tout en gardant le réseau en diamant (il en existe 2 types) on retrouve les 8 familles de cristallisation possible. Si cette vision est juste, alors l'agencement nucléaire de chaque atome qui en découle, devrait correspondre à l'observation physique, mais limité aux cubes de Planck de quarté nucléaire. Pour plus de détail, je vous proposerai une balade dans " Vive MENDELEÏEV ! " page qui sera au début du livre suivant.

particule alpha


Preuve concevable, par le rayonnement de Hawking

De toute façon, si ma théorie du Cube de Planck et de sa filiation avec l'Hexagone de Planck est vraie, alors tout trou noir est amené à s'éteindre en une sphère de Cube de Planck à quarks les plus massifs ; cette sphère étant limitée en diamètre par son Horizon des événements. Ce diamètre nucléaire est proportionnel au volume empilé des Cubes quantiques. Car, malgré l'effet puissant de contraction infinie d'un trou noir, un Cube de Planck matériel ne peut dépasser la densité de ses quarks les plus lourds (condensation du quark le plus léger vers le plus lourd, parmi les 6 quarks possibles). C'est alors un lieu immobile et immuable, référant de l'Univers, qui n'émettra un rayonnement de Hawking sous forme de fermions qu'à la fin de sa vie, lorsqu'il sera épuisé par le rayonnement très faible mais continu de Hawking sous forme de photon (thermique).
Une fois que toute la matière est condensée en un agglomérat de Cubes de Planck les plus lourds, l'émission des jets bipolaires s'arrêterait par pénurie de condensation, mais pas le rayonnement résiduel de Hawking. En effet, les jets bipolaires d'un trou noir se tarissent, lorsque le trou noir est devenu une sphère de Cubes de Planck remplis avec les quarks les plus lourds (il n'existe que 6 possibles quarks). Parce que tous les Cubes de Planck dans le trou noir seraient alignés par leur Hexagone de Planck (sur les 2 champs correspondants et leur axe de spin) et ne pourraient dépassés la masse des quarks les plus lourds.
    Ce même alignement a provoqué des jets (bipolaires) opposés, dans l'axe de spin commun à tous ses lourds Cubes de Planck, lorsque le trou noir avalait de nouveaux matériaux. Si, cette présentation est proche de la réalité, le rayonnement de Hawking ne concerne pas que l'émission "thermique" des trous noirs, mais surtout il constituerait alors, les jets bipolaires en faisceau d'un trou noir, ce serait une des conséquences de l'assimilation de nouvelle masse. Ces deux jets sont les seuls endroits où peut être émis un rayonnement ultra puissant de Hawking ; du à l'énergie colossale de fusion des noyaux sur l'horizon des événements, cette énergie au niveau des cubes de Planck et alors comparable à l'énergie primordiale du vide, d'où sa séparation en fermions et anti-fermions, les uns allant s'intégrer au trou noir les autres s'échappant au pôles de rotation du trou noir ; là ou leur énergie cinétique, après avoir spiralé à partir de l'équateur, est tellement concentré qu'elle s'oppose à la gravité du trou noir ; alors ces particules peuvent filer à une vitesse relativiste en des jets puissants de Hawking ( : car partageant le même processus).

Ce dernier serait donc un rayonnement ultra puissant (maser ?) à mésons lourds ; si comme je le stipule, c'est dû à la chute de la matière dans un super-trou noir (au centre d'une galaxie), car celui-ci est construit par la condensation des antiparticules primitives. Et gamma (laser ?), si c'est un trou noir classique issu de l'effondrement d'une étoile massive. C'est ce rayonnement qui transporterait l'information historique du trou noir et devrait permettre de déterminer la composition, si ma vision est juste.
De plus, une fois le rayonnement épuisé (reste que des quarks les plus massifs), le trou noir devient une sphère orientée par l'alignement des Hexagones de Planck, c'est alors une balise de position immobile et immuable de notre Univers dans l'Hypercubedes huit Univers. Le présent de chacun de ces Cubes de Planck est figé en une durée quasi infinie, en commun avec les autres. Alors, son rayonnement de Hawking n'est plus que des émissions de quarks virtuels, ceux qui composent l'énergie du vide.
Les flashs gamma hyper énergétiques proviendraient du passage de la terre dans le faisceau d'un des jets, et donneraient une idée approximative de la taille du trou noir (temps de traversée). Ces flashs devraient être englobés dans un faisceau électromagnétique dû aux mésons sources.
Les rayons cosmiques seraient un résidu de ces faisceaux de mésons. Les mésons émis par ces jets sont soit des pions neutres ou soit chargés en électromagnétisme, si le trou noir présente une charge (en opposé). Contrairement aux faisceaux gamma, le faisceau de mésons est soumis à la dynamique de l'environnement (galaxie hôte), d'où son décalage de réception terrestre. Le rayonnement de Hawking résiduel sur l'horizon des événements devrait être composé donc que de particules pour les trous noirs stellaires, et que d'antiparticules pour les super-trous noirs centraux.
Tous les mésons sont éphémères (beaucoup moins, s'ils se déplacent à une vitesse proche de la lumière, comme dans les jets). Cette instabilité est due à leur placement dans la triade, énergétique, du Cube de Planck. En effet, les mésons sont un couple de quarks et anti quarks, dont chacun occupe un triangle rectangle différent en dualité géométrique, couple prompt à s'unir en un secteur énergétique.


Par rapport aux réseaux de Spins

Attention, bien que proche des réseaux de spins, présents dans la théorie de la gravitation à boucles ; mes idées matricielles de l'Univers et de ses particules sont différentes ; comme entre une sœur (peut-être autiste ?) et un frère (à boucles !).

Heureux, si ces Physiciens - Mathématiciens, tels Lee SMOLIN, Carlo ROVELLI, etc. ont vent de ces propositions.
Pour une bonne connaissance de la théorie de la gravitation à boucles, je vous recommande l'article, présent dans le "dossier de pour la science" N° 62 de janvier - mars 2009, éditeur : "POUR LA SCIENCE", s'intitulant : "Des atomes d'espace et de temps".


Retombées

Tout récemment, à l'aide de faisceaux lasers, la communauté scientifique réalise des réseaux d'interférence annulaire. Ces derniers servent de piège à atomes pour créer des condensats de Bose-Einstein.
Le réseau d'interférence en annulaire est très proche d'être en hexagone. Cette technique, donc poussée dans le retranchement de l'Hexagone de Planck, pourrait permettre de manipuler le quantum d'énergie et en particulier, le plan d'énergie minimal présent dans chaque Cube de Planck (entre autres : l'énergie résiduelle du vide).

L'objectif est de modifier l'énergie du vide en vue de l'extraire comme source. Voir de créer de l'énergie en la séparant de l'anti-énergie (de l'Univers opposé). Mais aussi de la modifier pour créer des champs enveloppants présent dans un des sept autres Univers ; ce qui permettrait à un vaisseau d'acquérir des caractéristiques exotiques tel que le déplacement instantané ou l'exploration du passé, etc. Il serait même envisageable de créer des particules de matières noires pour utiliser leur effet d'anti gravité ; voir de bombarder des neutrons avec des condensats de Bose-Einstein d'électrons pour créer des anti protons.

Avec l'intermédiaire des particules noires,

poursuivons notre promenade, dans la GENÈSE COSMOLOGIQUE.

De Circum HUTI, le 18/02/2009, mdf le .