NOUVEAUTÉ : le "Supra Conteneur" d'électricité


ACTUALISATION DES ÉPILOGUES :

Pour une meilleur accessibilité, est placé en premier mes actualisations de cette idée, classés par date de création décroissante.
Et, si c'est votre PREMIÈRE VISITE, commencez par le paragraphe suivant : "§) LIMINAIRE", jusqu'en fin de page ; avant de revenir visiter ces nouvelles perspectives, merci.

2016-03-18 Pour une SCISSION GLOBALE des graphènes dans un bloc de charge.

        La séparation de tous les feuillets de graphène d'un bloc de graphite grace à l'immission d'un fluide isolant serait plus économique. Alors, utilisons le dioxyde de carbone supercritique au sein d'un bloc de graphite soumis à une tension fortement polaire, pour séparer les couches de graphène : Grâce à la forte diffusivité, et ce CO2 devient alors, une couche de séparation électrique et physique. Ce fluide supercritique, arrive de préférence le long du conduit de l'électrode ; car, au plus prés de la mise en charge des feuillets.
Du coup, nous aurions deux blocs de graphènes séparés et isolés électriquement, l'un de l'autre : l'une pour les charges (+), l'autre pour les charges (-).

        Si le trou, pour le passage de l'électrode, est unique ; alors l'usinage sera plus économique, car il ne sera pas nécessaire de déterminer le plan de clivage des feuillets, dans leur bloc de graphène, du moment qu'il existe des espaces d'expansion et de positionnement des feuillets, ceci entre le bloc de graphite et son conteneur.
        Si, nous recherchons une réduction de ces espaces de contention, alors il faudra découper les faces du bloc, bien perpendiculairement aux plans (déterminés d'avance) des feuillets de graphène ; ce qui augmente considérablement le coût du façonnage, d'autant que les puits pour les électrodes doivent aussi être en parfaite concordance linéaire !

        Si l'on retient ce puits unique par colonne de graphène, en une des polarités électriques ; alors, au lieu de tapisser le puits d'un semi-conducteur, nous pourrions nous orienter vers un filin servant de lien entre les différents étages de graphène dans ce puits ; ce filin étant mobile, il isole en son sein un conducteur.
Ce serait alors l'électrode cylindrique, en circulation pour la décharge, qui serait recouvert d'un film semi-conducteur adéquatement (: / à ma dernière proposition) ; pour que l'aimant de part et d'autre du disque métallique de recueil, crée une force d'acquisition de charge à travers ce film enveloppant.

À l'inverse, placé plus loin sur le filin d'accompagnement, et isolé par le matériau du filin entre les deux, nous aurions une deuxième électrode cylindrique de circulation pour cette partie de chargement électrique des feuillets.
Cette électrode de chargement non seulement doit permettre un voltage plus élevé pour diminuer le temps de charge des feuillets, mais en outre elle doit permettre la séparation de deux feuillets de graphène immédiat, au cours de leur chargement pour augmenter la diffusion du fluide supercritique de séparation et isolation électrique.

¨C'est pourquoi : bien que l'inclinaison des feuillets permet à plusieurs feuillets adjacents d'être en contact avec le disque de chargement de cette électrode cylindrique ; il sera avantageux d'avoir une série empilée de ces disques de chargement dans cette électrode. Cette électrode de chargement n'est pas isolée d'un film semi-conducteur, mais ces disques métalliques seront encadrés par une aimantation pour potentialisé le passage des charges vers les feuillets de graphène.

      Nous pouvons en plus, engendrer une vibration des feuillets de graphène chargés, pour faciliter le travail de leur séparation par la pression du CO2 supercritique ; pour ceci, nous soumettons, la surface interne du couvercle et du socle renfermant le bloc de graphite, a une tension alternative très élevée, jusqu'à obtention de leurs séparations définitive.

        Le fluide supercritique qui va s'immiscer entre les feuillets de graphène pour les séparer doit être un isolant électrique, dans le but d'annuler les arcs de transfert de charge entre les feuillets.

Pour renforcer le pouvoir isolant du fluide supercritique, nous pouvons y associer un gaz noble tel que l'hélium ou le néon, chimiquement neutre ; voire un élément facilement ionisable sur la même polarité de charge.

2016-02-26 DES TUNNELS dans une colonne de condensateurs plans.

        À partir du "§)LIMINAIRE" , je vous faisais part d'un nouveau type de supercondensateurs.
Ils sont basés essentiellement, sur des microbilles de chargement d'une des polarités électriques.
Leurs charges (ou les microbilles d'une même polarité), peuvent, suivant les besoins, être rapprochées de leur électrode spécifique, ou éloignées pour les isoler dans la profondeur de leur chambre polaire ( la + sinon la - ).


        ICI, je vous propose une approche, non plus dans des microvolumes, mais SUR UN PLAN de charge, si possible monocouche ; pour augmenter la capacité de charge apportée par ses monocouches.
La préférence de ces plans ainsi, s'oriente plutôt vers les films de graphène (MONOCOUCHE) ou les films de cuprate (en vue D'UNE SUPER CAPACITANCE, à température de l'azote liquide).


    En voici, le parcourt de sa confection :

 SVG NE S'AFFICHE PAS : UTILISER UN AUTRE NAVIGATEUR !

        ☷ L'ISOLANT) Un film très ISOLANT.
C'est une tapisserie homogène d'un même polygone régulier en matière isolante. Ce polygone paveur est soit : un hexagone, soit un carré, ou un triangle équilatéral. Ainsi, nous composons une première assise plane diélectrique ; de préférence sur un minimum de couches atomiques.

Le film isolant peut présenter une diélectricitée forte et permanente ; par exemple avec un film vitrifié, où l'on aurait déplacé les ions alcalins (par chauffage et champ électrique) vers l'une des surfaces !
La forte diélectricité, de cette lamelle isolante, en tant qu'électret d'assise, renforce ainsi, la capacité de charge des lamelles suivantes, conductrices.

        ☳ LE CONDUCTEUR) Y est accolé une LAMELLE DE CHARGE.
Celle-ci est toujours un pavage de ce même polygone régulier, le plus fin, mais à l'inverse, ici, elle est fortement conductrice.

La finesse, de ce fim conducteur, a pour objet, de se rapprocher d'une monocouche, une surface restreinte à une épaisseur de capacitance, telle que celle du graphène ; pour obtenir la plus forte densité de conduction de ces lamelles, et augmenter leurs capacitances.

        ☵ LES COLONNES)
Cette lamelle conductrice accolée à cette lamelle diélectrique donne un premier banc de capacitance.

L'EMPILEMENT collé de ce même banc permet d'obtenir des colonnes de condensateurs plans à section polygonale.

        ☱ L'ALTERNANCE)
Pour permettre une liaison entre les différentes lamelles à charge spécifique ; le polygone paveur des lames de charge positive doit se différencier structurellement, de celui des lames de charge négative.
Pour cela, nous TRONQUONS un sommet sur deux du polygone conducteur et comblons les manques par une isolation électrique pelliculaire. Puis, nous décalons les bandes suivantes paires par une rotation plane centrée

: pour que, de leurs polygones de charge, les sommets tronqués soient décalés d'un sommet par rapport aux bandes impaires.
Cela alterne, dans la colonne, l'alignement des sommets conducteurs en fonction de la polarisation de la charge qu'ils doivent emmagasiner. Ainsi, les parties tronquées de la strate de charge positive sont en vis-à-vis d'un des sommets conducteurs de la strate de charge négative ; et vice versa.

        ☶ LES TUNNELS)
Nous perçons un TUNNEL À L'EXTRÉMITÉ de chacun des sommets de la section polygonale des colonnes obtenues par cette série de films assemblés alternés. ( Usinage pendant l'assemblage ou à la fin de l'empilement et de la découpe des colonnes. )
Du fait de l'alternance des sommets tronqués et des sommets conducteurs entre lamelles de charges opposées : un tunnel sur deux sera en contact électrique qu'avec les couches planes d'une des deux polarités de chargement électrique.

Dans chaque colonne de section polygonale, séries de condensateurs plans, nous nous retrouvons, en périphérie, avec des tunnels de polarisation opposés en côte à côte ; soit un total de 6 tunnels par colonne hexagonale avec trois pairs d'opposition électrique ; soit de 4 tunnels par colonne de carrés avec deux pairs d'opposition électrique ;
Seules les colonnes triangulaires voient un de leur sommet neutralisé avec une paire de tunnels en opposition électrique ( Ce sommet neutre pourrait être percée en vue du passage d'un aimant moteur ou d'un produit de refroidissement ).

        ☲ LE RETARDATEUR)
Tout en conservant sa lumière, chaque tunnel voit sa surface interne recouverte d'un FILM SEMI-CONDUCTEUR. Ce dernier est DOPÉ EN FONCTION de sa relation avec les plans de chargement positif, sinon négatif (en trous électroniques sinon en électrons). Cet enduit interne a pour fonction, de diminuer la rapidité en décharge de ces colonnes de condensateurs plans.

Lorsque la section polygonale d'une colonne comporte plus de 2 sommets opposés (l'un pour les +, l'autre pour les -), nous pouvons y adjoindre d'autres tunnels techniques d'appui : pour contrôler la collecte avec des conduits de pression motrice ou de déplacement d'un aimant voire d'un électret moteur ; ou pour renforcer, par apport d'azote liquide, l'effet monocouche atomique des lamelles en cuprates ou autres supraconducteurs plans.

        ☴ LE COLLECTEUR)
Une électrode sphérique PARCOURT son tunnel de chargement type (en + sinon en -). Son diamètre égale celui de la lumière du son tunnel.
Cette électrode sphérique est reliée à un filin plus fin, d'âme conductrice.

Son filin d'accompagnement est embobiné dans un dévidoir, à plat, au faîte de la colonne.
Au cours des avancées techniques, nous rechercherons la miniaturisation la plus poussée pour ces collecteurs, leurs dévidoirs et leur moteur ;
pour un meilleur rendement entre charge et décharge.

        ☰ LE PROPULSEUR)
Les électrodes sphériques et leur filin SONT PROPULSÉS dans leurs tunnels de polarisation, conjointement en fonction des besoins électriques de charge ou de décharge ; par le moyen le plus économe et pratique.

Ainsi, nous pourrions nous orienter vers une propulsion pneumatique par différence de pression entre les extrémités du tunnel ; ou (et) vers un dévidoir plat micro-motorisé pour le filin de ces électrodes nomades ; ou (et) une propulsion électromagnétique ; voir tout procédé adapté à la lumière de ces tunnels.

        ☯ Au final) Les colonnes de chargement électrique pavent le coffre approprié de l'engin. Leur hauteur est en rapport avec celle du coffre ; leur section paveur est en rapport avec la largeur et la profondeur du coffre, ainsi qu'avec la nécessité d'avoir ( polygones tronqués) ou pas un passage sur la hauteur des colonnes de chargement électrique. Il faudra aussi tenir compte, en fonction des besoins : du système distributif moteur des différents collecteurs électriques ; et du système de contrôle d'ambulation électrique pour les parois internes, semi-conductrices, des tunnels. Ces systèmes, par commodité, seront placés de préférence, au sommet du pavement en colonne de chargement.
        ⊛ Nota : il est possible DE SE PASSER DE filin de conduction et de son enrouleur : EN disposant UN RAIL CONDUCTEUR SUR la paroi interne du tunnel, diamétralement opposée à l'empilement. Le COLLECTEUR ALORS, LIBÉRÉ prend une forme cylindrique dont la section médiane est conductrice, isolée en haut et en bas par une section isolante. La propulsion de ce cylindre libre dans le tunnel, est alors assurée par différence de pression pneumatique ou autres.
        Et pour renforcer l'effet de charge ou de décharge, nous pouvons utiliser les autres tunnels en opposition centrale. En particulier, nous avons deux paires de TUNNELS OPPOSÉS, SUPPLÉMENTAIRES dans la section en hexagone ; où pourraient CIRCULER DES AIMANTS, mis en opposition, de telle façon qu'ils créent, au même niveau que les électrodes, UNE FORCE DE LORENTZ sur les charges POUR TRAVERSER LA PAROI en semiconducteur dopé du tunnel ; cela, soit en déplacement vers l'électrode avec l'un des couples d'aimant, soit en déplacement de l'électrode vers le centre de la section avec l'autre couple d'aimant. Les couples de tunnel à aimant, seraient alors utilisés suivant les besoins : en charge sinon en décharge.
        ↯ VERROU sur les monocouches conductrices) La fabrication d'une monocouche conductrice de chaque côté du film isolant diélectrique nécessite non seulement une maîtrise technologique de dépôt feuillet par feuillet, mais aussi une technique économique et exportable industriellement. Ce verrou n'empêche pas d'utiliser, dans un premier temps, pour ces colonnes de condensateurs plans, des couches conductrices plus épaisses.

Ensuite pour augmenter la capacitance des colonnes par rapport à leur poids et leur volume, nous serons amener vers une technologie de monocouche conductrice.
        Aujourd'hui, la séparation de feuillet de graphène (monocouche de carbone) est au stade artisanal avec l'exfoliation sur ruban adhésif, par pliage dépliage successif de ces monocouches ; sauf que la couche obtenue, n'est pas régulière dans sa continuité (déchirures) mais aussi dans son homogénéité d'épaisseur (avec la présence de bancs parcellaires de plusieurs couches) ; tout en rajoutant la contrainte de répétition de pliage dépliage.
Cependant, nous y entrevoyons une technique industrielle, qui se rapproche des imprimantes électrostatiques, qui serait applicable à partir de tout bloc (carbone ou phosphore ou aluminium, ou autre) en feuillet, parfaitement préparé.
Pour faire sauter ce verrou, nous nous orientons vers une mise en commun de plusieurs moyens d'impression ; pour exemple, en voici une de mes propositions.
La 1ére étape, va utiliser des pinces à effet tunnel, pour saisir le premier feuillet et le feuillet suivant.
La 2ème étape, va envoyer une très haute tension en électron, dans chacun des deux feuillets superposés, par le biais de ces pinces (à effet tunnel).
La 3ème étape, va utiliser un laser thermique pour séparer les deux feuillets ; tandis que les pinces maintenant le premier feuillet du dessus vont exercer un écartement de ce feuillet vers le haut.
La 4ème étape, va placer un conducteur soumis à un très haut voltage en trou d'électron, sur la face opposé du filme isolant diélectrique ; ce dernier étant au dessus du feuillet en exfoliation, le but étant de le coller à ce film isolant.
La 5ème étape, va renforcer ce collage par une solidification exercée avec un laser U.V. à travers le film isolant.
Une 6ème fonction, sera de se débarrasser des premiers feuillets non réguliers, jusqu'à ce qu'on obtient la superficie désirée ; auparavant (7ème), le bloc de feuillet aura été placé adéquatement, après avoir repéré le plan de feuilletage (8ème : par palpage avec des microscope à effet tunnel).

        ✈ Exportations du concept de tunnel pour charge) Dans ma précédente conception en chambre polaire à microbilles en super condensateurs : les tunnels, à la paroi semiconductrice, pour le passage d'électrode spécifique, sont plus appropriés pour renforcer la finesse de contrôle de chargement électrique ; d'autant que les champs magnétiques de contrôle sont déjà présents pour modifier la perméabilité des parois suivant les besoins !

        ≬ Propriété émergente ?) Le déplacement d'électrode, dans un tunnel de collecte spécifique en charge électrique, conduit à un courant non plus continu, ni sinusoïdal, mais en dents régulières de scie ; dont le tracé dépend à la fois de l'épaisseur des films isolants diélectriques et de la vitesse de déplacement du couple opposé d'électrode. À l'instar, du courant sinusoïdal, qui a permis l'émergence des moteurs asynchrones ; il est probable qu'une nouvelle propriété émerge de ce courant en dents de scie, sûrement dans le contexte des moteurs ioniques.


§) LIMINAIRE / au Supra conteneur

Préambule. Ci-dessous, un abrégé des innovations apportées par ce « supra conteneur », en condensation électrique, par rapport à la dernière génération des supercondensateurs :

    - Des milliards de microvolumes (émission)

C'est par un amas compact de milliard de microvolumes (microbulles), que nous accroissons l'extension du volume occupé par les charges. La capacité de charge n'est plus cantonnée à la surface des cavités d'une paroi poreuse d'électrode dans un supercondensateur, mais s'étend dans tout le volume. Ces microbulles, compactées dans leur chambre de charge, sont alors, des microtirelires électroniques.
Toutes identiques et en sphères : elles sont conglomérées à la KEPPLER. Cela permet, d'accroître la densité spécifique de charge dans l'ensemble du compartiment par rapport au supercondensateur.
Il est à noter que : Le Supra conteneur est charpenté électroniquement, autour de deux chambres séparatrices, totalement étanches : une pour les charges (+) et une pour les charges (-).
C'est une évolution par rapport aux supercondensateurs : où les deux électrodes poreuses sont séparées par une paroi perméable uniquement, aux anions et cations. Ici, ce sont les parois des microbulles qui pourront être poreuses aux types de charges électroniques, de signe spécifique à leur chambre d'isolement.

=) FACTUM : Désavantage, pour les supercondensateurs, les charges restent cantonnées sur une seule double couche moléculaire de solvant à la surface de leur électrode poreuse. Tandis que, dans le Supra conteneur, chacune des deux chambres (pour électrons, sinon trous électroniques), renferme un amas compact de milliards micro-prisons électroniques.
À charge spécifique, chaque chambre, en un volume compacté de microbulles, est équivalente à une multiplication dimensionnelle de la surface en charge d'une des parois d'un véritable condensateur. À l'inverse, les électrodes des supercondensateurs, poreuses à un solvant de densité saline (à cations et anions), se rapprochent plus des batteries, avec une plus faible capacité. Pour nos supra conteneurs, l'avantage, de la lente décharge procurée par le solvant salin des supercondensateurs, est ici augmenté par la résistivité entre les parois des microbulles de charge.
Cet amoncellement, d'un même type de micro thésauriseur électrique, permet ainsi, d'étendre la zone de charge de la façade accolée aux cavités des électrodes poreuses (dans les supercondensateurs), à l'ensemble du volume par la densité en microgouttes de nos deux chambres spécifiques.

    - À un point, la réduction du passage électronique (action)

C'est par la réduction à un « point » (puit quantique et effet tunnel) du passage de charge entre microgouttes, que nous augmentons leur capacité d'arrimage dans les Supra conteneurs par rapport aux supercondensateurs : où le solvant de charge, au sein des électrodes poreuses, sur quelques nanomètres, est lui, en contact avec une « surface » de diffusion.
Lorsque les microgouttes au contact des électrodes sont saturées en charge électronique (dans une chambre : en électrons ; dans l'autre : en trous électroniques) : elles deviennent, au niveau de leur point de contact, les électrodes de contact pour la couche suivante de microgouttes.
Ainsi, la densité maximale de charge sera présente pour l'entassement le plus compact : celui du réseau cubique centré. Ce réseau peut être obtenu par dépôt d'une imprimante 3D, par tassage vibratoire d'un contenu saturé en microgouttes, par alignement des microgouttes à leur sortie, etc...
      =) EXAUCEMENT : Aussi, les parois, de ces microgouttes conteneurs, doivent permettre le passage de la charge spécifique, au niveau de leur point de contact.

Si, comme dans les supercondensateurs, les transporteurs sont des anions sinon des cations, nous pourrions rendre perméables, entre elles, les parois des microgouttes.
Sinon, pour renforcer un effet tunnel de transfert de charge, leurs parois seront des semi conducteurs dopés, en atomes de nature (P) sinon (N) et en opposition au type de charge de la chambre ; ceci, pour faciliter le passage des charges entre microgouttes contiguës ou avec l'électrode de la chambre (P et N font références, aux types de dopant pour les semiconducteurs, dans les diodes et transistors). Le dopage pourrait renforcer par ricocher, la rigidité des parois de ces microbulles (par exemple : une paroi en silicone dont les couches externes seraient renforcées par un dépôt de silicium dopé).
L'utilisation d'un semi-conducteur monocouche (ex : phosphore noir) comme paroi de ces microgouttes augmentera leur capacité de charge, d'autant plus que le contenu sera du graphite (conducteur métal), qui, sous l'influence des charges, se différenciera en empilement de feuilles monocouches de graphène.
Pour augmenter la capacité électronique, les charges ne doivent plus être portées par des anions ou des cations, car elles sont en dissolution dans un solvant,comme dans les supercondensateurs ; Mais, les charges devront être portées par des nanoparticules, au sein de nos microbulles spécifiques, en une poussière dense.

    - Utilisation de l'effet pointe (source de l'effet)

Pour charger ou décharger en profondeur, nous hérissons la paroi interne des électrodes (issues des supercondensateurs), de micropointes électrostatiques (semblable à nos paratonnerres). Ces pointes sont renforcées lors des charges, par un ballast (type inductance des néons). Ainsi, elles vont créer un champ de polarisation à la limite de l'effet corona, pour envoyer en profondeur les charges, dans leur chambre respectif. Le voltage pour l'effet de pointe doit être inférieur à celui qui déclencherait un éclair, et légèrement supérieur à l'effet Corona. Au cours de la recherche, il sera judicieux d'utiliser un inducteur réglable (en bobine ou en ballast)
Nota : en plus du contrôle exercé par les porteurs externes des champs B et E, un rhéostat et un potentiomètre apportent en sortie motrice une finesse d'utilisation de la puissance électrique.

La chambre à charge positive est alors, la copie du volume chargé en gouttes de cations du haut d'un cumulonimbus d'orage. Celle, à charge négative, est quant à elle, imagée par la base de ce cumulonimbus.
      =) TROPISME DE RENFORT : Pour renforcer la force motrice du champ polaire de ces micropointes, nous les gainons sur une grande partie de leurs longueurs d'un matériau dont la différence triboélectrique soit élevée et de signes contraires aux charges de la chambre, pour un renfort en canon électronique.
Les grandes micro-aiguilles voisines de renfort sont constituées du même matériau que la gaine ouverte des micropointes. Elles profitent alors, de l'agitation thermique et de pression, des constituants de la chambre pour se charger en triboélectricité adéquate.

    - Contrôle au plus prêt, dans les interstices (contrôle de l'effet )

C'est par différentes nanoparticules conductrices de toutes les forces électroniques nécessaire, au sein des interstices de l'amas compact de microbulles à charges, que nous apportons, renforçons et contrôlons le sens et la puissance du transit des charges, aux points de contact entre microgouttes accolées, grâce à la variation de champs puissants périphériques.
      =) TROPISME DU CANON ÉLECTRONIQUE , grâce aux nanoparticules présentes, entre les microbulles de charges :
        a) Nous avons des FERROMAGNÉTIQUES pour apporter au point de contact le champ B global de contrôle ;
        a') avec aussi, des ÉLECTRECTS permanents pour amener en local le champ E global ;
        b) Nous pouvons utiliser des IONS DE CHARGE en opposition à celle gérée par les micro-prisons, nous pouvons aussi renforcer l'effet canon électronique, en plus de la différence triboélectrique. Surtout, si ces ions interstitiels sont difficilement neutralisables par le potentiel des électrodes, parce qu'ils sont non conducteurs ; avec en plus, une impossibilité de diffuser à travers les parois des microgouttes. Leur densité interstitielle serait alors, contrôlée et orientée, vers la paroi des microbulles acceptrices, par le champ E.
       b') Ou la différence TRIBO-ÉLECTRIQUE des nanoparticules, par rapport au type de charge de la chambre, à la tribo-électricité des parois des microgouttes, et à celle de leur contenu. La tribo-électricité des nanoparticules interstitielles procure un effet aux charges de canon électronique, pour renforcer le sens et la force du passage électronique, aux points de contact entre parois des microbulles prisons.

Aussi, pour installer la triboélectricité de ces nanoparticules, autour des points d'échanges entre les microgouttes : l'agitation thermique pourrait être contrôlée soit par un maser soit par un effet PELLETIER.
      =) PAR D'AUTRES RENFORTS pour le transfert des charges :
        *) Passage par LAPLACE
Ainsi, l'apport des champs B et E rajoute une force de Laplace au niveau des points de contact entre microgouttes ; ce qui ORIENTE, TOUT EN LE RENFORÇANT, L'EFFET CANON ÉLECTRONIQUE sur les charges statiques présentes.
        *) Par DOPAGES
Le passage des charges entre les microgouttes, peut-être aussi renforcées par un contrôle de type transistor. Pour cela, les parois des microbulles seraient SEMI-CONDUCTRICES, en inverse des nano dopants présents dans la poussière des interstices.
        *) Par POMPAGE
Le passage des charges peut aussi s'orienter vers une transposition des pièges photoniques par transparence induite, appliqué aux charges électriques, à l'aide de Masers. Pour cela, des nanoparticules de lanthanide (Césium, Europium ..) sont présents dans les microbulles comme porteurs ; les interstices seraient saturées EN NANO CONDUCTEURS D'UN MASER de pompage ; et les parois des microbulles seraient, elles conductrices d'un maser sonde. La conjugaison des deux masers rendrait ainsi, conductrice les parois des microbulles, le temps de leur émission croisée.


0) FABRICATION industrielle :

    - Coût

Sûrement, une combinaison progressive de ces différents composants (hiérarchisés ici, dans leur difficulté), assurera à l'industriel engagé, une innovation dominante en loi de Moore.
  Actuellement, la fabrication des micro prisons de charge, en une seule particule nanométrique porteuse de charge, enveloppé dans une coquille isolante, est ruineuse. Avant d'atteindre ce stade, pour un coût économique, nous devons nous orienter vers des MICROBULLES ENFERMANT UNE POUDRE (diluée ou pure) porteuse de charges.
  Pour cela, je vous oriente vers le procédé fondé sur des puces microfluidiques. Voir, à ce sujet, l'article

de SCIENCE ET VIE, FÉVRIER 2015 de Mathilde FONTEZ, page 43 : "l'énergie de la vie".
  D'autant qu'un procédé frère, calqué sur (Lien :) « les enveloppes des diatomées », bien qu'étant moins avancé et plus compliqué, en démontre la faisabilité et la performance.
  Pour utiliser au mieux la triboélectricité, avec un faible coût, nous employions des couples fortement opposés dans leur différence triboélectrique à partir des matériaux courants que l'on pourrait récupérer dans nos décharges (telles que les films plastiques et les bas Nylon, réduits en poudre ; les films d'aluminium, les câbles).

    - Induction technologique

  DANS CE CADRE, d'un super conteneur électrique en deux chambres isolées et inverses en polarité de charge : nous nous retrouvons, dans l'amas contenu de chaque chambre, avec trois milieux distincts. Cette triade est composée du MILIEU INTERSTITIEL, de L'ENVELOPPE des microbulles, et du CONTENU des microbulles.
  Étudions, quelle différence de matériau, entre ces trois milieux, est nécessaire pour que les charges de chaque chambre se répartissent dans tout le volume.
    Si l'ensemble du CONTENU des chambres EST IONIQUE (dans un solvant acide) : un couple redox s'établit entre ions et électrodes ; et nous nous retrouvons avec les classiques piles, batteries, piles à combustible, voire supercondensateurs. Or nous voulons les surpasser.
    Si l'ensemble du CONTENU des chambres CONDUIT l'électricité : nous nous retrouvons avec un condensateur classique ; à supplanter.
  Pour que les charges en polarité spécifique de la chambre s'étendent dans toute la profondeur, par-delà la surface séparatrice des deux chambres : il faut enfouir ces charges sur la totalité du contenu des chambres, dans les microbulles amassées. Cela dépendra principalement, des matériaux utilisés pour chacun des trois milieux.
    REMARQUONS d'abord que :
      A) les électrodes sont davantage, en contact avec le milieu interstitiel, qu'avec la surface externe des microbulles.
      B) les enveloppes des microbulles sont en contact par un unique point, en raison de leur courbure identique.
      C) le contenu, quant à lui, n'a de contact qu'avec la surface interne de l'enveloppe des microbulles.
    IL EN RESULTE, la nécessité qu'au moins un des trois milieux (interstices, enveloppes, microcontenus) soit isolant ou mieux en semi-conduction à variation contrôlée.
      *) Si c'est seulement le milieu interstitiel qui est conducteur, nous obtenons un condensateur classique.
      *) Et si c'est seulement l'enveloppe des microbulles qui est conductrice : Les charges vont se retrouver, principalement aux points de contact entre la dernière couche de microbulles et la surface de part et d'autre de la paroi séparatrice des chambres. Au vu que, toutes les microbulles dans chacun des deux amas sont en contacts avec chaque voisine, par un point sur la courbure de leur enveloppe.
  Bien que ces charges s'étalent, en partie sur la paroi des microbulles de la dernière couche, en vis-à-vis de la surface séparatrice des chambres ; Les avantages acquis, par rapport à un condensateur classique, sont faibles. Nous n'augmentons la surface de charge qu'à la partie, des surfaces en vis-à-vis, des enveloppes de la dernière couche de microbulle. Bien que nous obtenons une légère diminution de la vitesse de décharge, due à la réduction en uniquement des points de contact.

    *) En revanche, si c'est seulement le contenu des microbulles qui est conducteur électrique : alors, par les micropointes de l'électrode de la chambre, dans la couche adjacente de microbulles, les charges injectées se répartissent sur la face interne de leurs enveloppes, en vis-à-vis de la lointaine surface séparatrice des deux chambres.
  Mais ces charges ne peuvent plus transiter naturellement vers des microbulles plus en profondeur ; bien que la surface séparatrice des chambres polaires les attire fortement. En effet,elles sont isolées par les parois des microbulles de la première couche.
  Cependant, c'est par les points de contact au niveau des enveloppes entre microbulles, qu'une transition artificielle d'électrons pourrait être induite par contrôle en « effet tunnel ». Bien que l'épaisseur des enveloppes au point de contact soit très mince, l'effet tunnel doit être renforcé, pour un transfert des charges entre microbulles dans tout leur amas, contenu total et compact des chambres.
    NOUS UTILISONS ALORS, trois moyens techniques pour optimiser cet effet tunnel :
      A) En premier lieu, nous utilisons la force de Laplace. Elle est portée localement, au niveau des points de contact par les nano diélectriques et les nano ferromagnétiques présents dans le milieu interstitiel de l'amas. Cette force de Laplace a pour source et contrôle, les aimants extérieurs ainsi que le champ E interne.
  Et bien que faible, cette force locale permet surtout d'orienter le transfert entre microbulles ; soit vers la paroi de séparation des chambres lors des charges trésorisées ; soit vers l'électrode de la chambre lors des décharges motrices.
      B) En deuxième lieu, pour cela, nous installons aux points de contact un fort pompage électronique identique au canon électronique des écrans cathodiques ; grâce à l'installation d'une différence triboélectrique fortement bipolaire entre le milieu des interstices voisins et le constituant des enveloppes en contact pointilliste, des microbulles. Ce pompage des charges entre microbulles adjacentes est très puissant, d'autant plus que la polarisation triboélectrique du milieu interstitiel est opposée à la charge en transit et à la triboélectricité des enveloppes des microbulles.
  Le chargement triboélectrique des deux milieux (interstices et enveloppe) peut être présente dés la construction, mais c'est l'agitation thermique combiné aux variations de volume des microbulles qui, au niveau l'interface interstice - enveloppe renforce leur différence triboélectrique.
      C) Enfin, nous dopons les enveloppes des microbulles, par rapport à la polarité des charges en transition. Ces enveloppes en semi-conducteurs agissent alors, comme transistors à champ, dans le transit électronique entre enveloppes en point de contact.
    UNE FOIS QUE l'industriel aura mis en place cette triade de moyen, il aura suffisamment d'acquis pour envisager des innovations plus quantiques. Dans le cadre économique des microbulles à charge électronique, le plus rentable serait de s'orienter alors, vers la composition suivante.

    - Composants

=) Donc, LA PAROI de ces microbulles présente :
        A) une souplesse et une fluidité, pour s'adapter aux variations de volume, dues aux charges, et aussi, pour être conçues sur des puces microfluidiques ;
        B) ces enveloppes minces, sont alors, faiblement conductrices de charge, voire semi-conductrice pour permettre une régulation des transferts électroniques par des effets contrôlés électroniques de voisinage, pour un effet tunnel ou de traverse adéquate.
Tandis que le contenu, en poudre, doit de préférence être métallique pour faciliter leur chargement électrique, et être le plus léger possible, pour concurrencer les combustibles.
      =) Pour les MICROBULLES DE CHARGES POSITIVES (à trous électroniques), leurs contenus en poudre doivent, en plus, être :
        A) capable de se transformer en cation le plus positif (3+) tel que l'ALUMINIUM ; et
        B) cette poudre doit avoir une acquisition triboélectrique grandement positive par rapport à l'enveloppe (: paroi à acquisition triboélectrique négative) ; Donc, une enveloppe de préférence en SILICONE, PVC, paraffine, ou polyéthylène.
Cette forte différence triboélectrique, négative pour l'enveloppe, va faciliter le passage de la charge au niveau des points de contact des microbulles, et augmenter l'effet tunnel utilisé.
L'acquisition triboélectrique de son contenu et de son enveloppe sera enclenchée par les variations de volume des microbulles.
      =) Pour les MICROBULLES DE CHARGES NÉGATIVES (à électrons), leurs contenus en poudre doivent, en plus, être:

    A) capable de se transformer en anion le plus négatif (4-) tel que le FERROCYANURE, bien que lourd, voire (2-) tel que le sulfure, bien que non-métal ; OU mieux, SI le phosphate (non-métal) ou le BORATE à (3-), sont négativement triboélectrique par rapport au nylon ; et
        B) cette poudre doit avoir une acquisition triboélectrique grandement négative par rapport à l'enveloppe (: paroi à acquisition triboélectrique positive) ; Donc, une enveloppe de préférence en POLYAMIDE, bien que le Plexiglas ou la silice sont au supérieur en triboélectricité.
      =) AINSI, les matériaux couplés en triboélectricité se composent de deux familles polaires. La famille qui accepte les électrons de l'autre famille :
        *) Les polyamides (Nylons), les verres, ou l'azote, pour les isolants ;
        *) l'aluminium (qui peut devenir aussi anion (Al à 3+) dans un solvant, sinon se présenter en poudre ou en film) pour les conducteurs. Et la famille qui donne les électrons à l'autre famille :
        *) les PVC (films plastiques), les polyesters, les Silicones, ou les paraffines pour les isolants ;
        *) le cuivre, le nickel (mais donnent des anions), pour les conducteurs.
        Avec une différenciation d'apport électronique s'effectuant grâce aux matériaux spécifiques aux électrodes de la chambre.
Pour exemple : les anodes de la chambre à charges négatives sont en aluminium (Al à 3+) ; tandis que les cathodes de la chambre à charges positives sont en phosphate (PO à 3-) ou en nitrure (N à 3-), métallique.
        Par la suite, l'industriel aura acquis assez d'étoffe en expérience et collaborateur, pour progresser dans l'innovation.

    - Extension

    =) Les innovations visent : la diminution de la taille des microgouttes ; mais aussi la mise en place dans chaque microgoutte d'une structure en pelure d'oignon, avec alternance de couches nanométriques semi-isolantes dopées en inverse, et de couches nanométriques porteuses du type de charge ; jusqu'à une nano graine moléculaire (voire atomique), semi-isolante,

cette dernière étant dopée en inverse à l'excès et ou, présentent une triboélectricité positive supérieure à la couche des porteurs.
      =) Le fait, pour nos Supra conteneur, d'avoir une chambre à trous électroniques va nous permettre, exotiquement, d'étendre leurs utilisations électriques, en les privilégient. Nous le verrons à la fin de cette page (paragraphe "7").


1) Inédit : c'est un Supra conteneur, pour l'électricité.

En prenant compte, de l'historique des conteneurs électriques et de leurs innovations ; LE BUT ÉVOLUTIF de ce nouveau Supra conteneur électrique : c'est, dans toutes les parties d'un volume, d'y condenser en profondeur, toutes charges (anions, cations sinon en nouveauté, électrons, trous électroniques) porteuses de la force électrique.

À fin, non seulement d'éclipser les dernières - batteries en supercondensateurs - ; au vu que leurs charges restent, hélas, cantonnées, sur quelques nanomètres d'épaisseur, contre les surfaces des parois poreuses de leur électrodes.
    Mais, avec l'intention aussi de surpasser les cuves à combustibles, dans leur capacité à dispenser une force condensée motrice, à la demande, en continu et en puissance adéquate.

    - La Première Solution

Dans la mouture précédente, à fin de « déraciner » les charges de leurs électrodes d'apport ; nous exercions sur ces charges UNE FORCE ÉLECTROMOTRICE DE GUIDAGE.
  Cette nouveauté était permise : 1) par l'utilisation conjointe d'un puissant CHAMP MAGNÉTIQUE : B, exercé par des aimants en périphérie ; 2) et par le COUPLAGE orthogonal de ce champ B, AU CHAMP ÉLECTRIQUE : E.
Ce champ E, est causé principalement par la séparation des polarités de charge (en « + » ou en « - »), dans deux chambres hermétiques, dans une opposition symétrique avec une paroi commune. Toutefois ce champ E peut être renforcé par des parois en diélectrique permanent

Cette force électromotrice, suivant son sens relié au sens du champ magnétique, permet alors, d'éloigner ou de rapporter les charges vers les électrodes suivant les besoins ; le sens et l'intensité de cette force directive sont réglés par la rotation de deux aimants puissants couplés l'un, sur le dessus des 2 chambres en opposition, l'autre en dessous ; et règlent ainsi, les besoins soit en charge dans la profondeur du contenu, soit en décharge de la profondeur des chambres ! Nous pouvons, si les parois du conteneur sont en diélectrique permanent, envisagé une rotation en périphérie, de celle-ci pour contrôler la charge et la décharge.
  Ci-dessous son dessein global, pour que je puisse vous montrer les avantages et les limites de cette mouture.

    - Dessein global du Supra Conteneur

dessin du contrôle des supercondensateurs


Cet ancien dessein, global, du Supra conteneur ; avec ses deux chambres en opposition voyait ses aimants placés sur les côtés « au lieu du dessus, dessous ».
      Mes nouveautés, en particulier, sont placées, ici, dans une autre architecture : où les deux aimants contrôleurs, donc rotatifs, sont sous et sur, le couple de chambre ; ce qui, sur les parois perpendiculaires, implique alors, d'y asseoir les électrodes (injectrices ou collectrices, suivant le cas).
    Pour charger ou décharger en profondeur, nous hérissons la paroi interne des électrodes (issues des supercondensateurs), de micropointes électrostatiques (semblable à nos paratonnerres).
Ces pointes sont RENFORCÉES lors des charges, PAR UN BALLAST (type inductance des néons).
    Dans la précédante version, MANQUAIT LA NOTION DE MICROGOUTTES en supercondensateur ; avec, dans leurs périphéries, la présence DE NANOPARTICULES PORTEUSES LOCALES des champs B ou E, pour renforcer et surtout diriger la force « d'un canon à électron » locale induite par l'ajout des différences triboélectriques.
Il faudra à présent, en tenir compte.
    La CHAMBRE À CHARGES POSITIVES est alors, la copie du volume chargé en gouttes de cations, en HAUTEUR d'un CUMULONIMBUS D'ORAGE.
CELLE, À CHARGES NÉGATIVES, est quant à elle, imagée par la BASE DE CE CUMULONIMBUS.
      Dans ce cadre global du nouveau Supra conteneur : il est à noter que la forme circulaire, est encore, à privilégier pour la rotation des porteurs, du champ (soit B, soit E), en opposition ; Bien que cette forme n'est pas indispensable. Par exemple, les deux aimants de contrôle pourraient être la réunion à un cour circulaire, de quatre ovales (Nord, Sud, Nord, Sud), tandis que le conteneur et les chambres seraient parallélépipédiques.
    Il est à rappeler que les aimants modernes n'ont plus besoin d'être en fer à cheval, vu que les pôles opposés peuvent être très proches. Le contrôle de charge décharge pourraient aussi être assurés par un couple des diélectriques permanents avec des aimants fixes en perpendiculaires, mais il faudrait tenir compte du champ électrique apporté par les deux chambres lors de leur chargement.
    Aussi, quelle que soit l'architecture alternative choisie : « en particulier dans la position et l'utilisation, des couples d'aimants externes, inducteurs du champ B global, et des parties couplées à triboélectricité la plus opposée, inducteurs du champ E global» ; elle devra être, fonction du contexte d'utilisation, mais aussi du progrès acquis par l'industriel.

    - Inconvénients Fantômes

Pour mes moutures précédentes, par mon enthousiasme et l'accouchement sur papier, deux obstacles sont restés voilés :
      -) En effet, un frein important, à la propagation des champs B et E dans la profondeur des chambres, résulte de la résistance magnétique et électrique des matériaux des différents éléments du contenu (en poudres, molécules, sels, gaz etc..).

Car tous présentent un certain degré d'isolation électrique et magnétique [qui pourrait être corrigé par la supraconduction, mais dans un délai technologique trop distant, par rapport à mes solutions suivantes].
      -) De plus les porteurs de charges, dans leur solvant, étant tous en contact : nous voyons les accumulation ponctuelles de charges dans l'impossibilité de se maintenir en profondeur et rejoindre spontanément, la périphérie des chambres, au niveau des électrodes.
  Aujourd'hui, je vous propose donc, à cette précédente innovation, des solutions complémentaires pour l'allégir, et ainsi la rendre opérationnelle.

    - Solutions complémentaires

        =) Pour AMENER EN PROFONDEUR LES CHAMPS B et E, créateurs du déplacement des ions ou des charges, du contenu ; nous allons, en proportion adéquate, saturer la gangue de nanoparticules FERROMAGNETIQUES et d' ÉLECTRETS (: diélectriques permanent) nanométriques (ex : en grains de silice pour les électrets).

Par ce biais, à l'ensemble de tout point de la gangue, nous conduisons localement, les champs B et E ; car ils sont nécessaires au mouvement de toutes charges situées en profondeur (dans le contenu des deux chambres de polarisation). L'essentiel revient alors,

        =) D'ISOLER, chaque ACCUMULATION de charge, EN PROFONDEUR dans des microbulles de supercondensateur.
  Cela, pour empêcher le transfert spontané des charges, soit par contact entre accumulations, soit par la conduction de la gangue interstitielle (saturés lui en nanoparticules ferromagnétiques et nano électrets).
  Nous isolons donc, chaque accumulation de charge, à l'intérieur de MICROGOUTTES aux parois non conductrices.
  Chaque accumulation est alors répartie dans le solvant interne (à différencier du solvant interstitiel de la gangue) polarisable en ion ou en charge.
  Les parois des microgouttes enclosent donc, une des accumulations de charges créées ; et ainsi, les isolent de la gangue conductrice locale des champs B et E.
            =) En un AMAS DE KEPLER, les microgouttes sont alors, agglutinées au maximum.
  Cela, pour, à la fois réduire la quantité de gangues interstitielles et aussi d'emprisonner, en un summum, les porteurs de charges dans chaque chambres de polarisation.
  À replacer dans le dessein global précédant du conteneur ; Pour ensuite y libérer une perspective totalement adaptable ; Résumons mes innovations, par le schéma de l'amas keplérien dans l'une des deux chambres d'ionisation, en vue de dessus et de côté :

        =) LE SCHÉMA de l'AMAS KEPLÉRIEN de la chambre à anions.
amas de microbulles chargées en anion

        =) RENFORCER LE TRANSFERT des charges électriques, entre frontaliers.
                *) PAR TRIBOÉLECTRICITÉ :
    Ensuite, il nous reste plus qu'à renforcer l'accumulation interne des charges, parmi les microgouttes ; pour surpasser définitivement, les combustibles, dans leur capacité énergétique.
  Pour cela, en plus de la force électromagnétique menée localement, nous allons tirer parti de la répartition triboélectrique, avec les différents matériaux utilisés pour les contenus. L'agitation Brownienne, soit en préalable d'utilisation, soit en maintenance au cours de l'usure, accentue les chargements triboélectriques des matériaux.
  Ce franchissement technologique d'une force électrique, condensée et supérieure aux forces chimiques des combustibles, va entre autres, provenir de la quantité triboélectrique présente autour des points de contact des microgouttes.
  Ces contacts sont donc, entourés d'une même polarité triboélectrique élevée, qui agit alors, COMME LE CANON à électron des tubes cathodiques, sur l'échange des charges entre microgouttes !
  Cet effet accélérateur de charge, non seulement, RENFORCE L'EFFET TUNNEL sur les parois, au point de passage entre microgouttes, mais surtout, il augmente considérablement les charges emprisonnées dans chaque microgoutte ! Cet effet de « canon à électrons » doit démarrer dès l'ionisation par les électrodes, à fin de baisser le voltage nécessaire et d'augmenter l'ampérage de charge et décharge.
  Pour cela, les gaines, des aiguilles et surface de l'électrode, doivent alors, présenter sur la paroi interne de contact une polarisation inverse aux électrons. D'où une gaine fabriquée en un électret et dont la différence triboélectrique, augmente la force de chargement des aiguilles ou des surfaces fractales de l'électrode. Cet effet de « canon à électrons » se poursuit dans la gangue des microgouttes toujours, par cette différence triboélectrique, entre matériaux.

Dans les micro-supercondensateurs d'une chambre, ce sera toujours des électrons (voire des anions) qui participent à la présence des charges ; Et dans les micro supercondensateurs spécifiques à l'autre chambre ce sera toujours des trous électronique (voire des cations).
                *) PAR EFFET TRANSISTOR :
    Cependant, pour la chambre à charge positive, nous pouvons privilégier, comme dans les transistors et diodes solides, le déplacement des trous électroniques « en absence d'électron », à celui des électrons ; pour un renforcement de type transistor, de l'effet tunnel au niveau des parois des microgouttes ; la différence triboélectrique entre matériaux ira alors, vers le négatif pour un effet « canon à trous électroniques ».
  Et, pour faciliter le passage des charges entre microgouttes contiguës ou avec l'électrode de la chambre par un effet tunnel de transfert de charge : les parois des microgouttes prisons, seront des semi conducteurs dopés, en atomes de nature (P) sinon (N) et en opposition au type de charge de la chambre ; ceci, (P et N font références, aux types de dopant pour les semiconducteurs, dans les diodes et transistors).
  Le dopage pourrait renforcer par ricocher la rigidité des parois de ces microbulles. Pour exemple : une paroi en silicone dont les couches externes seraient renforcées par un dépôt de silicium dopé ; voir l'utilisation de gouttes d'eau sèche développer plus loin.
  Cependant, toujours pour un effet puissant de « canon à électrons », l'aluminium présente une différence triboélectrique positive très importante par rapport au silicium des parois de la poudre d'eau sèche ou des alcanes tel que le dérivé en polyéthylène.
  Dans un progrès futur, l'utilisation d'un semi-conducteur monocouche (ex : phosphore noir) comme paroi de ces microgouttes augmentera leur capacité en passage de charge.

        =) SENS ÉLECTRONIQUE, selon les besoins :
    Quant à l'orientation, en charge vers la profondeur des contenus, ou en décharge vers les électrodes des parois, va dépendre, selon les besoins, de l'orientation de la force électromotrice sur les effets des « canons à électrons ». Cette orientation de la force électromotrice résulte de la rotation du couple d'aimants externes, et, ou, de la rotation des parois externes des chambres si elles sont en diélectriques permanents.
  Pareillement, cette force électromotrice est conduite autour des points de contact des microgouttes, par la gangue interstitielle.

Ici, dans cette description, force et sens moteur local sont induits par les aimants extérieurs couplés à la différence électrique entre les chambres du Supra conteneur.
  Maintenant, que mon treillis universel est bien dénoué ; l'innovation devient technologiquement, prééminente pour ce nouveau conteneur d'électricité : plus efficace en volume, en pérennité et en charge que précédemment.
  Au vu de mes novations apportées aux conteneurs en énergie, ce nouveau supercondensateur, je le renomme Supra conteneur ; profitons-en, pour détailler ces différentes innovations.


2) Détaillons les innovations de ces conteneurs d'énergie :

Nous abordons une nouvelle ère technologique, où les objets grandissent en complexité. Nous sommes passés, au niveau des réservoirs d'électricité : d'un simple principe d'électrodes de générateur triboélectrique (machine de Robert VAN DE GRAAFF), jusqu'à quelques principes innovants pour la double couche électrochimique des supercondensateurs.
Ainsi, le saut technologique, d'un conteneur d'énergie électrique équivalent, voire supérieur en capacité, maniabilité et densité, à nos conteneurs à combustibles, ne pourra être atteint que si nous sommes capables de relier un plus grand nombre d'innovations dans un conteneur prépondérant en puissance maîtrisée inégalée.
Cette mise en relation des innovations est facilitée si nous gardons à l'esprit le treillis en huit mutations, voire « LIEN vers la 1ére page du livre, la démonstration : son extension aux douze sphères d'enveloppe dans l'incipit de Kepler ». Avant de rechercher le plan évolutif des innovations, abordons en premier, L'ESSENTIEL DE MES ASTUCES innovantes.
  Au vu que, E et surtout B, sont contrecarrés par les résistivités du solvant dans les chambres ; ma précédente innovation d'une force électronique, engendrée avec des champs extérieurs B et E orthogonaux, n'augmente que très faiblement, en profondeur, les couches de charge. Pour que les charges puissent occuper tout le volume, j'ai maintenant la solution : Chacune des DEUX CHAMBRES (à charges opposées) est remplie D'UN AMAS DE KEPLER, en microbulles de charges électroniques, baignant dans une GANGUE interstitielle. Cette gangue est composée de nanoparticules CONDUCTRICES, jusqu'aux parois de chaque microgoutte, des CHAMPS B et E. Les CHARGES, grâce à cette force de Laplace locale, peuvent alors être enchâssées DANS LES MICROBULLES.
  Les charges sont ainsi, étendues à l'ensemble du volume, dans cet AMAS DENSE de micros supercondensateurs.

Technologiquement, nos contemporains savent depuis plusieurs années fabriquer des nanogouttes avec un calibre constant (par le biais de puces microfluidiques ; voir N°1169 de « Science & Vie » article de Mathilde FONTEZ).
  La séparation en deux chambres de polarisation distincte permet de remplir leurs microgouttes de porteurs spécifiques de charge à forte attirance réactive, en les séparant. Pour exemple, des poussières de lithium sont encapsulées dans les microbulles d'une chambre et du dioxygène est retenu dans les microgouttes de l'autre chambre.
  Vous noterez, dans les microbilles de supercondensateurs : le liquide, le gaz ou autres porteurs de charge ne doivent pas diffuser à travers la paroi (ex : grâce à la taille de leur libre composant) ; car nous recherchons une séparation de contenu entre : le solvant interstitiel de la gangue, pour les porteurs de champs électromagnétiques locaux ; et le solvant interne, dans les gouttes,pour les porteurs de charges spécifiques (anions, ou-exclusif, cations ; sinon électrons, ou-exclusif, trous électroniques). Cependant, cette diffusion maîtrisée, par entre autres, l'osmose inverse, pourrait devenir un allié dans le passage entre nanogouttes. La gangue interstitielle devient aussi, la nano conductrice, en local, des champs B et E.
  En outre, avec le solvant interne, mais aussi avec la gangue, et les parois des nanogouttes ; leurs différences triboélectriques rajoutent aux POINTS DE CONTACT des microbulles, en « pompe, en canon à électron », une FORCE DE PROPULSION électronique, locale et puissante. Au niveau de la paroi, cette force renforce la traversée électronique (par effet tunnel ou, et autre) ; dont le sens sera déterminé par la direction de la force électronique de Laplace (due à B & E au point de contact) !
  Ainsi, HUIT NOUVELLES TECHNIQUES : permettent d'éclipser les supercondensateurs classiques :

    - A) Avec le contrôle des charges ou des décharges en force électrique ;

        =) PAR SÉPARATION ;
                0) Le conteneur électrique est différencié en deux chambres de chargement électrique (ou d'ionisation), en opposition (: des électrons pour l'une et des trous électroniques pour l'autre), pour créer un champ électrique E. Ce champ E va servir à augmenter la capacité électronique ; D'autant plus que seul les agents de charge, dans les microbilles, sont isolés, à l'inverse de la gangue interstitielle, qui elle, est étendue dans toute la chambre.
                0') Deux aimants permanents, puissants et légers, placés l'un au-dessus, et l'autre sous, les chambres d'ionisation, créent un champ magnétique B en contrepoints du champ électrique E. Ce champ E est alors, induit par la différence de potentiel entre les chambres ; pour une force contrôlée de Laplace. Par la rotation (ou une translation) de ces légers aimants puissants, en opposition architecturale, nous maîtrisons la charge sinon la décharge, dans les volumes du conteneur ; Cela, par le contrôle de la direction de la force électronique de déplacement, induite grâce à la rotation du couple orthogonal de champs B et E.

        =) PAR MATÉRIAUX ;
                1) La paroi séparatrice des chambres est aussi, en matériaux diamagnétiques purs, pour que le champ magnétique transverse entre les deux pôles (nord, sud) de chaque aimant, soit le plus faible ; et ainsi, concentré le champ B exclusivement, à l'intérieur de chaque chambre.
                1') Le champ électrique E peut aussi être contrôlé par la rotation (ou la translation) d'une cosse externe, aux parois internes opposées en polarité, en deux demi-enveloppes en électrets permanents.
                1'') Plus tard, pour renforcer le champ B dans toute la profondeur des chambres, en plus d'alléger le dispositif du poids d'un aimant, nous pourrions remplacer l'un des aimants par un alliage supraconducteur au contact de l'azote liquide, pour créer l'effet Meissner : où le supraconducteur renvoie un champ magnétique opposé à l'aimant. Chaque chambre devra alors, présenter une architecture en symétrie médiane aux deux champs B en opposition

    - B) Avec un renfort de charge au niveau des électrodes ;

        =) PAR L'ARCHITECTURE ;
                10) Les électrodes sont non seulement microporeuses, mais surtout elles sont hérissées en micropointes d'ionisation ou de dépôt de charge. Ces micropointes permettent de truffer les « milliards » de bâts électroniques, d'un « Cloud » ( occupant tout le volume), en charges positives dans une chambre et en charges négatives dans la chambre opposée.
Les micropointes seraient ajoutées à la surface microporeuse des électrodes par dépôt avec, par exemple, une imprimante utilisant la technique des microscopes à effet tunnel, sinon celle des imprimantes en 3D.
                10') Par rapport aux électrodes placées à intervalles réguliers tout le long de la paroi interne des chambres ; leurs bornes de contact sont situées à l'extérieur, pour être mobilisable en rotation « anti-couplée » à celui des aimants, placés en perpendiculaire. Cela permettrait d'augmenter la maîtrise, de charges et de décharges, en puissance électrique, sur un long terme.
                10'') À fin de, favoriser l'effet tunnel entre les charges, émises (ou collectées) par leurs électrodes et contenues dans les micro supercondensateurs : Les trous d'électron, dans une chambre, et les électrons, dans l'autre chambre, devraient présenter une inertie intrinsèque nulle ; De telle façon que ces sources de charge électronique se comporte comme des particules de masse nulle ; D'où en déplacement à une vitesse commune égale à celle de la lumière. Pour cela, le matériau de l'électrode doit présenter sa bande d'énergie « en conique de Dirac ».
À ma connaissance, en dehors des modes offerts par les semi-conducteurs, seul le graphène (monocouche isolée de graphite) présente un cône de Dirac électrique. Ainsi, une pointe de charge, constituée de l'enroulement d'un microtriangle de graphène, serait la plus adaptée en taille et en capacité de tunnel, pour le transfert vers les nanoparticules porteuses, emprisonnées dans leur micro bulle de charge.

Ces nano cônes de charge, étant creux, un effet « canon électronique » peut s'y rajouter sur les charges. Ensuite, ces milliards de nano pointes, nous devrions les greffer, les implanter à la surface (poreuse ou pas) de nos électrodes ; pour charger de manière optimale le « Cloud » de chacune des deux chambres.
        =) PAR AMPLIFICATEURS ;
                11) Comme, le cycle de charge et décharge engendre une variation du volume des microbulles de charge ; il accentue le MOUVEMENT BROWNIEN.
Ce mouvement Brownien, charge en triboélectricité, les surfaces de contact, des micropointes triboélectriques, de la gangue interstitielle, et des parois des microprisons. Pour que l'effet pompe électronique se retrouve au niveau des points de contact des microgouttes ; et injecter ou éjecter les charges électroniques, dans les micro supercondensateurs, à travers le point de contact de leur paroi.
La paroi interne de l'électrode, dont la différence triboélectrique par rapport au support est alors, en opposition au type de charge de la chambre, surtout au niveau de ses micropointes.
                11') En plus, pour accentuer l'effet de canon électronique, cette enveloppe est aussi, riche en inclusion d'ions dont la charge est opposée à celle de la chambre.
                11'') De plus, entre les micropointes d'ionisation, sont intercalées des micropointes isolantes, de même propriété électronique que la paroi. Ce dispositif permet ainsi, de renforcer l'effet canon électronique, sur les pointes d'ionisation.
                11''') Pour baisser le voltage nécessaire et augmenter l'ampérage de charge et décharge : les micropointes peuvent être gainées en un électret, dont la différence électronique présentent sur la paroi interne de contact une polarisation inverse aux charges circulantes.

    - C) avec un volume le plus dense de micro supercondensateurs ;

        =) PAR L'AMÉNAGEMENT ;
              *) DU CHAMP E :
                100) De même, par rapport à la concentration du champ électrique E, les matériaux de la paroi de séparation des chambres doivent être de préférence, à forte diélectricité d'orientation permanente.
                100') À l'inverse, si l'on utilise la rotation du champ E, moins économe que celle de B, nous devrons alors construire une paroi séparatrice des chambres à orientation diélectrique modifiable.
              *) DE L'AMAS :
                101) Les champs B et E de contrôles sont conduits ponctuellement, dans la totalité de la chambre, grâce à la gangue des microcavités ; qui est saturée à la fois de nanoparticules ferromagnétiques pour un B local, et aussi de nanoparticules à forte et permanente diélectricité pour un E local. Ainsi, la gangue devient conductrice, des champs B et E de contrôle des charges, pour les accompagner, en profondeur, jusqu' à la paroi des micros supercondensateurs. Ces derniers saturent, en un amas le plus compact, les deux chambres.
                101') Le débit de charge ou de décharge peut être aussi contrôlé par une variation de pression sur le fluide conducteur de la gangue, entre les microbilles supercondensateurs.
En effet, ce contrôle de pression influence directement, aux points de contact, la courbure de ces fermoirs de charge. Voir plus loin « le gâteau d'abeilles ».

        =) PAR LE DISPOSITIF CENTRAL ;
              *) AU NIVEAU LA GANGUE :
                110) Pour créer un champ électrique, E, en local, au niveau des points de contact entre les nanogouttes :
nous utilisons la différence triboélectrique entre, gangue interstitielle (conductrice des champs B et E), la paroi des gouttelettes, puis avec leur absorbant interne d'ionisation.
                110') Le liquide de la gangue, porteur en surface de la triboélectricité, est donc, créateur de la force à canon électronique de transfert électronique, aux points de contact des microgouttes supercondensatrices.
              *) AU NIVEAU DE L'AMAS :
                111) Pour le déplacement de la zone de charge, de la surface des électrodes dans toute la profondeur des chambres de polarisation :
par l'enchâssement des porteurs de charges, dans les microgouttes.
Rappel, ces dernières sont amassées à la Kepler dans une solution, pour un compactage extrême.
          À partir de ces innovations, nous allons détailler, tous les principes techniques et constituants, à notre portée, ainsi que leurs futures améliorations.


3) Les différents étapes de conception :

Il est temps d'explorer les matériaux à envisager par rapport aux technologies innovatrices proposées.
Pour cela, nous devons :

A) D'abord cataloguer les différents éléments de chacune des deux chambres du Supra conteneur ; pour ensuite dresser les combinaisons de matériaux, des plus accessibles aux plus ardus technologiquement.
    B) Ensuite, nous envisagerons la progression en loi de Moore, de ces super conteneurs électriques.

    - A) Les différentes parties sont pour l'amas keplérien :

Les microchargeurs sont enrobés dans une GANGUE ; celle-ci transmet, en local, les champs B et E de contrôle.
    Les MICROCHARGEURS avec des parois ( dans le cadre des microbulles supercondensatrices) embrassant le CONTENU, pour la charge.
    Cet amas de microchargeurs est alors enfermé dans une chambre spécifique au type de charge. Ce fermoir comprend : un ETUI ; des ÉLECTRODES spécifiques ; et des RENFORTS de transfert de charges, en pompe électronique, ionique ou triboélectrique.
    Les deux chambres sont chapeautées par les sources externes et de maîtrises des champs B et E ; soit : les AIMANTS ; et si nécessaire diélectrique (chacune des chambres jouant déjà ce rôle) les demi COSSES opposées en charge triboélectrique.
    Les microgouttes sont agglutinées au maximum, par un AMAS DE KEPLER. D'où, pour les différentes parties de cet amas de micro-supercondensateurs (tels que ceux des particules porteuses d'un champ, de la gangue, voire des porteurs de charges et des fluidifiants),

une préférence vers des matériaux qui peuvent présenter un réseau cristallin à structure cubique centrée ; à fin de contribuer à la structure de Kepler.
    Quant au solvant des contenus, des microgouttes, chimiquement il doit être passif à l'identique des gaz nobles.
    L'expansion des charges, d'autre part, doit être au plan des porteurs. Ces porteurs doivent être facilement le plus ionisable possible, tels que : AL3+. à l'inverse les particules d'enveloppe doivent juste pouvoir présenter une triboélectricité adéquate.
    La difficulté, d'avoir des porteurs à un atome ou une molécule ionisable, est contournée. Si, une pellicule est composée d'un certain nombre d'atomes ou de molécules ionisées, ces ions se détachent de cette poudre, jusqu'à qu'il y est plus qu'un singleton.
    Le processus d'individualisation des porteurs de charges, en vue d'un amas complet et dense de charge dans les cavités, peut se dérouler plus facilement, en interne dans ces microprisons.

    - A') La combinaison matérielle la plus facile à installer,

tout en respectant les contraintes, définies plus loin, ce sont celles, utilisant des ALCANES [: composés carbonés aux liaisons saturées en hydrogènes] et leurs dérivés, dont la cire d'abeille (: est un ester, pas un alcane), qui sont les plus adaptées, à notre niveau technologique.
    Non seulement, les alcanes sont très légers, et présentent un fort potentiel triboélectrique et diélectriques, mais en plus ils sont facilement modelables, aussi bien en particules, qu'en fines parois.
Bien sûr, du fait de leur nature carburante, ces matériaux à base d'alcanes devront être dans une « atmosphère » neutre de type azote ou gaz carbonique. Les alcanes de formule (Cn H2n+2) vont : des gaz carbochimiques que sont le méthane (n=1), l'éthane (n=2), le propane (n=3) et le butane (n=4) ;

en passant par les huiles de paraffines avec n compris entre 8 et 20 ; les vaselines avec n proche de 25 ; et les cires solides d'une valeur de n, au-delà de 25 jusqu'à 40 (bitume à 35) ; à ces différents alcanes il faut rajoutés toutes les fibres polysynthétiques dérivées.
    Ce sera la structure mécanique nécessaire à chacune des huit parties du Supra conteneur qui va déterminer le type d'alcane ; tout en sachant que l'on pourra s'orienter suivant les besoins vers d'autres matériaux du moment qu'ils permettent la fonction de la partie concernée.
    Comme la différence triboélectrique entre les différents alcanes risques d'être faible, nous pourrions en remplacer par une autre nature ; Là, où le besoin d'une grande différence triboélectrique, pour l'effet « canon à électron », serait indispensable.

    - B) Vers une évolution des microgouttes, les tirelires pour charges électroniques

        =) DU GÂTEAU D'ABEILLES À PAROIS ISOLANTES, JUSQU'AU CHAMP PRISON. ;
              *) En s'inspirant des alvéoles, pour les butineuses, nous pourrions copier en premier la nature. Avec l'amas le plus compact, celui qui est à la Kepler ; l'abeille créée son gâteau de cire à base d'alvéoles cylindriques ; tel l'entassement de bulles identiques de savon. Plus loin, je les rapprocherai de nos nanogouttes supercondensatrices.
Une fois cet amas de bulles obtenues par les abeilles, elles chauffent la cire des alvéoles sphériques pour que toutes leurs parois s'accolent en prismes à section hexagonale : les paveurs de leur gâteau de miel et pouponnières. Ainsi, chaque rayon d'alvéoles se superpose au suivant par un emboîtement rhomboïde ; et, au centre d'une alvéole, se superpose naturellement, le croisement de trois alvéoles adjacents.
Comme cette architecture dérive naturellement, de l'amas sphérique de Kepler des alvéoles initiales ; le gâteau de cire obtenu, équipaudrait à l'accolement par pression de bulles de savon : les parois des prismes présentent alors, une surface minimale par rapport à la contrainte de tension des bulles. Non seulement, cet amas de PRISME HEXAGONAL affecte la plus grande solidité pour la moindre masse de matière séparatrice ; mais elle assume un plus grand volume alvéolaire que les bulles.
Bien que nos nanoparticules, porteurs locaux des champs B ou E, se retrouvent alors, concentrées au sommet de ces prismes hexagonaux (: en rhomboïdes, aux extrémités à 3 pinacles et aux 6 faces, de losanges tous identiques, en longueur de bord) ;

Nous pourrions donc, utiliser ce principe « apixial » (= de l'abeille), dans l'évolution de notre Supra conteneur, vers un plus grand rendement. ;
              *) Nous pourrions aussi, rajouter les effets d'une GANGUE interstitielle SUPRACONDUCTRICE ; jusqu'à pouvoir concevoir des nanobulles de charge dans de l'azote liquide.
              *) Seule, une amélioration constante permettra d'atteindre CETTE MINIATURISATION des microbulles EN NANO-GOUTTELETTES, pour qu'elles emprisonnent non plus l'ion, mais l'électron ou son « trou d'électron ». Le passage vers ses nanogouttes serait facilité avec une paroi de quartz, ou en cage fullerène en carbone, voire en silicium. Cette miniaturisation sera atteinte grâce à l'augmentation de la résolution d'imprimante 3D vers le nucléon, avec une impression ultra rapide !
              *) De même nous pourrions réduire le solvant interne qu'à des ATOMES DE CHARGE, INDÉPENDANTS, de carbone ( où nous pourrions pousser l'ionisation atomique à 4 électrons) ; voire d'hydrogènes ionisables mais non réactifs.
              *) Pour la gangue interstitielle, conductrice des champs de contrôle B et E, nous pourrions la réduire à des CONDENSATS FLUIDES (voire de Bose Einstein) de quelques ATOMES LÉGERS ferromagnétiques et diélectriques permanents dans leur orthogonalité.
              *) Pour aboutir, dans un lointain avenir, en un gel ultraléger où, EN NANO SUPERCONDENSATEURS INDIVIDUELS ; toutes les nanogouttes de charge, en individualité, seraient créées et contrôlées dans leur taille par un champ spécifique.

        =) VERS DES MICROCHARGEURS EN GOUTTES D'EAU SÈCHE
              En ce qui concerne les microbulles amassées de supercondensateur, nous pourrions s'orienter vers une poudre D'EAU SÉCHE qui est constitué de microgouttelettes d'eau enrobées de silice (développé par le centre de recherche de l'université de Liverpool) ; ici, bien sûr, les gouttelettes d'eau sont saturées en porteur léger de charge tel le méthane ; mais nous pourrions aussi remplacer l'eau par un fluide supercritique en dioxyde de carbone pour avoir une température d'utilisation normale (31° à 74 bars) par rapport à l'eau sèche (-70°) tout en ayant une plus forte dissolution ; dans ce cas la gangue devra contenir cette haute pression.
Pour faciliter le passage des charges entre les microchargeurs d'eau sèche en renforcent un effet tunnel de transfert de charges, les parois de silice ou mieux de germanium, seront des semi conducteurs. Ces parois sont alors, dopées en atomes de nature (P) sinon (N) par rapport au type de charge de la chambre (P et N font référence, aux types de dopant pour les semi-conducteurs dans les diodes et transistors) ; l'eau interne étant saturée en ces mêmes atomes porteurs. Tout en sachant que l'absorption d'éthane ou autres molécules chargeables peuvent renforcer leur capacité de charge.
L'utilisation d'un semi-conducteur monocouche (ex : phosphore noir) comme paroi de ces microgouttes augmente leur capacité de charge, d'autant plus qu'elle contient du graphite (conducteur métal), qui, sous l'influence des charges, se différenciera en un empilement de feuilles monocouches de graphène, augmentant la capacité électronique.
        =) VERS DES MICROCHARGEURS EN NANO CAGES MOLÉCULAIRES
              Dans une évolution future, nous pourrions remplacer les microbulles, par des nanoparticules sphériques de charge, toujours en amas de Kepler. Entre ces NANO CAGES MOLÉCULAIRES, telles que le Buckminsterfullerène, dit C60, se glisse des atomes alcalins comme le césium ; ceci, à fin de modifierpar une variation de pression, l'état des C60 : d'isolant il transiterait en conducteur métal de Jahn-Teller, dans une transition de Mott. Si, l'on arrive à obtenir une TRANSITION PROGRESSIVE DE MOTT, relative à la pression ; alors, le contrôle de l'accumulation électronique sera optimum, par une variation de conductivité électrique de ces tirelires moléculaires, dans les chambres de charge spécifique. La pression, qui modifie la sphéricité des C60, pourrait être finement, exercée par les parois piézoélectriques de la chambre de charge. Kosmas Prassides a publié sa découverte sur la transition de Mott, pour les C60, dans « Science Advances » de 2015.

Le chimiste, Sarah Tolbert de l'UCLA, Californie, pour apporter au C60, les charges, utilise des polymères de transfert, entre des alignements en triplet de C60 ; dans le cadre d'une amélioration des cellules solaires. La chaîne polymérique, par sa configuration, permet le transfert électronique, d'une chaîne de C60 à la voisine, tout en évitant une inversion du transfert. Reste à l'appliquer aussi, dans un amas képlérien de C60.
En attendant de maîtriser la fabrication de C60, leur mise en amas compact et la régulation de la transition de Mott ; l'étape primaire serait l'utilisation de microgouttes aux parois isolantes dans lesquelles seraient insérées des molécules de transfert de charges suivant les conditions existantes au sein des interstices de l'amas. Parmi ces conditions, nous avons vu les champs électromagnétiques, ici la pression, mais ce peut être aussi une diffusion chimique, voir ionique, et pourquoi pas un changement d'état par laser ou maser adéquate.
        =) VERS DES MICROCHARGEURS EN CHARGE ÉLECTRONIQUE DE SPIN
              L'évolution suivante serait alors, de se cantonner uniquement : d'un côté dans UN AMAS de KEPLER D'ÉLECTRON de MÊME SPIN, poser dans un état de BOSE-EINSTEIN ; de l'autre côté, d'un amas de Kepler en trous électroniques de Planck, tous de même spin et installer aussi un État de Bose-Einstein. Pour éviter l'effet tunnel entre les chambres, à fin que les trous et les électrons restent séparés chacun dans leur chambre, les spins des électrons seront en OPPOSITION à celui des tous électroniques. Les électrodes de chaque chambre doivent filtrer les charges et spins dans un effet Hall de spin quantique approprié, grâce à la spintronique (visiter : le lien)
Dans le dessein de créer, en permanence, DES PAIRES DE COOPER ÉLECTRONIQUES, à la sortie du supra conteneur : cette technologique sera renforcé par l'utilisation de quatre chambres imbriquées de telle façon que deux chambres en spin d'électrons opposés, soient en contiguë, et que dans chacune soit incluse une chambre en spin de trou électronique de Planck, opposé. Nous retrouvons de nouveau, avec une architecture du symbole Inn Yang. Le courant en paire d'électron de Cooper permanent, non seulement apporterait les avantages dues au supra conducteurs.
Mais en plus, l'obtention de paire de trou électronique de Planck devrait amener de nouvelles propriétés physiques : telle qu'un véhicule présentant en périphérique une paroi en paire de Cooper de trou électronique de Planck, subirait un déplacement en effet tunnel. Vous trouverez plus de détails dans le paragraphe sur « les extensions technologiques ».

    - B') Vers une évolution des contenus, porteurs de charges électroniques

Dans ces microbulles et en tant que porteurs de charges, leurs CONTENUS, sont constitués de poussières nanométriques. Ces nanoparticules de poussière pourraient, en fonction des avancées technologiques, être de différentes natures, parmi les conducteurs, les semi-conducteurs ou les isolants :
              *) Cette poussière peut être constituée d'un gaz ionisable, voir d'un NUAGE DE GOUTTELETTES IONISABLES, comme nos nuages d'orage. Ce gaz ou ce nuage devra n'être ionisable que pour le type de charge de la chambre.
              *) Cette poussière peut aussi être constituée de nano isolants électriques, s'ils peuvent présenter : une triboélectricité supérieure et de même signe, par rapport à la triboélectricité des parois de nos micros tirelires, et une triboélectricité (des nano isolants) de même signe de charge que l'ensemble de sa chambre.
              *) Cette poussière peut en outre, être constituée de nanoparticules métalliques (conductrices). En particulier si elles baignent dans un isolant liquide ou mieux gazeux, neutre chimiquement et non ionisable tel que le gaz carbonique ou les gaz nobles.
              *) Ces nanoparticules métalliques peuvent aussi baigner dans un milieu dense de poussière isolante. Ces poussières de voisinages voient leur capacité isolante augmenté si leur différence triboélectrique par rapport aux nanoparticules métalliques sont d'une grande polarité inverse à la polarité de charge de la chambre.
              *) Cette poussière peut, comme préconisé précédemment, être constitué de grains de graphite (ou équivalent cristallin), qui sous l'action des charges, vont se répartir en empilement de feuillets de graphène chargés. Cette voie devrait permettre, EN UNE PROGRESSION DE MOORE, à n'avoir plus que des POUSSIÈRES ATOMIQUES FORTEMENT IONISABLES, au sein des microbulles

(exemple : avec des atomes de carbone nous devrions pouvoir atteindre quatre charges par atome, soit en anion, soit en cation !) ; peut être par supraconduction ; Voire, à n'utiliser que des atomes indépendants, dont le niveau de fermi permet d'arracher ou de rajouter le plus d'électrons possible ; Pour, dans une future avancée technologique, n'utiliser que des nano quantiques en gaz d'électrons libres ou de trous électroniques libres.
              *) Aussi, cette poussière peut être constituée de NANO SEMI-CONDUCTEURS DOPÉS pour accueillir le type de charge de la chambre concernée.
              *) Un mélange de ces différentes nanoparticules, pour les poussières de charge dans les microbulles, devrait être plus performent ; car toutes la gamme de capacitance serait parcouru, d'où une plus grande souplesse.
              *) Dans une recherche d'effet quantique, cette poussière peut être aussi constituée de boîtes quantiques indépendantes, où les trois dimensions sont inférieures à la longueur d'onde de l'électron, pour créer un puit de potentiel quantifié. L'ensemble de cette poussière pouvant être mis dans une cohérence de Bose-Einstein.
              *) Cette recherche de condensation des charges, par effet quantique, peut aussi se dérouler en une évolution des poussières de charge, vers un condensat quantique d'électron dans une SOUS STRUCTURE de la microbulle de chargement électrique. En particulier, si les microbulles pouvaient être emplies par un tube nanométrique enroulé de diamètre inférieur à l'onde de l'électron (ou donc, du trou électronique), pour obtenir un confinement quantique des charges.
Ce tube est alors, continu d'un pôle à l'autre de la microbulle, en couches spiralées étendues du centre à la paroi. De plus, ce tube est fermé à ces deux extrémités, s'il est creux ; son vide étant bien sûre inférieure à l'onde des électrons ou des trous électroniques.


4) Les Contraintes à surmonter :

Dans leur rapport puissance, poids et densité, les conteneurs combustibles thermiques ou explosifs sont supplantés par les électriques ; si non seulement, les nouveaux conteneurs d'électricité reposent sur les plus légers et les plus amassables des molécules de charge, voire des atomes ; mais aussi, que les charges puissent s'étendre, bien au-delà de la surface des électrodes, dans la totalité du volume des chambres. Pour cela, nous devons appliquer des moyens techniques légers et efficaces, qui en bonus se renforcent.
Et vu l'historique de ces conteneurs, le nouveau Supra conteneur doit adapter les différentes techniques de ses pères.

Au final, nous devons trouver un ensemble technique qui permet de préserver les charges dans toute la profondeur du conteneur, tout en maîtrisant leurs délivrances.
La recherche de la légèreté et du maximum de confinement des particules porteuses avec les enveloppes, implique que les particules porteuses et les particules d'enveloppe des véhicules de charges soient composés d'éléments (nano poussières, molécules, ou atomes) les plus légers possibles ET que leur amas soit à l'identique à celui de Kepler : cubique à face centrée, car le plus compacte en volume ; Lien vers l'amas de Kepler.


5) Les nouveaux principes, du Supra conteneur :

Le principe innovateur, pour l'occupation de la totalité du volume par chaque charge, va s'inspirer des « CUMULONIMBUS ORAGEUX ». Ces derniers cumulent les charges électriques séparément, à la base et au sommet du nuage, dans un volume conséquent.
Nous devons donc, trouver des techniques innovantes, tout en adaptant les techniques existantes, par rapport à cette nouvelle contrainte de préservation des charges en profondeur.
              -) Par corrélation dans ce maillage avec la force de dégradation ; nous continuons donc, à utiliser les anodes et cathodes des supercondensateurs, en structure nano - poreuse. Mais, pour renforcer l'ionisation en profondeur (similaire à l'effet paratonnerre), nous les érigeons de nano -pointes conductrices ; si possible, en similitude de celles qui sont utilisées dans les microscopes à effet tunnel.
              -) Quant à la force de scission des charges, nous renforçons la complète séparation des chambres d'ionisation.
Et innovation dans le domaine des porteurs de charges, nous les incluons dans un nuage de particules (poussières, molécules ou atomes).

Dont la triboélectricité de ces particules d'enveloppes, par rapport au porteur, ne peuvent présenter qu'une charge inverse. Cela crée une gangue isolante pour chaque porteur ; afin, que l'ensemble, en tant que véhicule, permet un déplacement volumique.
              -) En ce qui concerne la force de régénération en charge et en décharge, nous innovons en utilisons la combinaison des forces électriques et magnétiques, pour créer : SOIT un apport de charges vers les électrodes dans la libération électrique, SOIT un enfouissement de l'électrification dans le chargement des porteurs.
              -) Grâce aussi, au dispositif électromagnétique précédent, la force d'expansion des charges s'étend de la zone des électrodes à toute la cavité.
Toutes ces contraintes d'adaptation des charges, d'une zone de confinement à l'ensemble d'un volume, nous conduisent donc à des techniques innovantes pour les conteneurs d'électricité.
Cette innovation, en tant que summum dans les conteneurs d'énergie, va nous permettre de dresser les mailles historiques par les différentes avancées technologiques.


6) Le treillis historique, des conteneurs d'énergie :

En y rajoutons cette innovation, dans les différentes techniques historiques pour un conteneur d'énergie électrique, nous pouvons y dégager : un treillis de technologie avec quatre axes de force affiliée.
En effet, nous distinguons, dans ce maillage, par la bi-coloration des familles de conteneurs, en passifs ( : sans apport), ou en actifs ( : avec apport), leurs quatre forces d'innovations.
    Elles amènent alors, 8 aspects triangulaires techniques, supportés par 12 renforts sphériques savants.
            =) Soit, la force de SCISSION, en charges polaires (en localisation) : par l'aspect technique de convection naturelle dans [0] les CUMULONIMBUS ; car aidé du renfort savant ( ,+y, ) de la convection naturelle des gouttes qui charge le sommet du nuage en cations .
            Suivit du renfort savant [( ,-j , )] de la différence triboélectrique, entre deux matériaux distincts, mise en place par frottement dans les MACHINES ELECTROSTATIQUES.
            Qui se poursuit par le renfort savant ( , ,-k) d'un séparateur diélectrique et conduit au deuxième aspect technique [1] des CONDENSATEURS dont le plus primitif est la bouteille de Leyde.
        =) Soit, la force de DEGRADATION, en couple redox (en potentiel) : par l'aspect technique [10] des PILES ; car aidé du renfort savant (+x, , ) de l'interaction des électrolytes.
            Suivit du renfort savant [( , ,+z)] de leur séparation diélectrique, dans les ELECTROLYSEURS.
            Qui se poursuit par le renfort savant (-i, , ) de la régénération électrochimique ou de l'apport continu d'oxydant et conduit à l'aspect technique [11] des BATTERIES et PILES A COMBUSTIBLE.
        =) Soit, la force d'EXPANSION de la capacité d'inductance ( en transformation) :

par l'aspect technique [100] des INDUCTANCES ; car aidé du renfort savant (-x, , ) de la restitution en induction de la mise en mouvement des charges électriques. Les plus connues des inductances sont les bobines pour les électrodes à étincelles dans les moteurs à explosion, et les ballasts dans les tubes fluorescents.
            Suivit du renfort savant [( , ,+k)] de la dynamoélectricité dans les DYNAMOS.
            Qui se poursuit par le renfort savant (+i, , ) de la conversion en énergie mécanique restituable en énergie électrique et conduit à l'aspect technique [101] des ACCUMULATRICES MECANIQUES tels quels : les barrages hydrauliques, les bonbonnes à gaz compressés, les disques d'accumulation d'énergie cinétique.
        =) Enfin, la force de CONFINEMENT des charges (en maintenance) : par l'aspect technique [110] des actuels SUPERCONDENSATEURS ; car aidé du renfort savant ( , ,-z) de la mise en élévation des surfaces fractales polarisables, en « double couche » dans les électrodes.
            Suivit du renfort savant [( ,-y, )] de la force électromotrice de Lenz-Faraday sur les plasmas et fluide polarisé dans la propulsion MAGNETOHYDRODYNAMIQUE.
            Qui se poursuit par le renfort savant ( ,+j, ) du confinement dans la totalité d'un volume espace-temps à polarisation spécifique de charge (soit le champ d'électrons, soit le champ de trous électroniques) et conduit à l'aspect technique [111] des nouveaux SUPRA CONTENEURS EN MICROBULLES, aux improbables supra conteneurs de Planck.
    Remarquez, que dans le maillage, chaque nouveau conteneur hérite et conserve, tous en les transposant, les techniques de la plupart de ces aïeux ; parce que ; tout treillis est inscrit, avant sa floraison, dans un processus évolutif par mutation.


7) Les extensions technologiques du Supra conteneur :

        =) LA DIFFÉRENCE ÉLECTRONIQUE, entre la chambre à microgouttes gardiennes d'électron de charge et la chambre à microgouttes gardiennes des trous électroniques (:charges +), va permettre un détournement du Supra conteneur EN APPAREIL DE PROPULSION. Surtout, si nous privilégions un excès, en quantité de charge, pour une chambre par rapport à l'autre ; en particulier celle qui recueille les trous électroniques.
    Cet excès de trous électroniques, au cours d'une charge, pourrait être obtenu avec des composants électroniques, tel qu'un ballast plus puissant pour la cathode ; et aussi par un volume en porteur de charge, plus important pour la chambre à trou électronique (par exemple en installant la chambre à trous électroniques au niveau de la circonférence externe d'un tore, par rapport à la chambre à électrons). Les parois externes du véhicule seraient alors, composées uniquement de cette chambre à trous électroniques, qui seraient MIS DANS UN ETAT DE BOSE-EINSTEIN.
    MIEUX nous pouvons externaliser ce champ en état de Bose-Einstein, autour de l'engin de transport, par UN EFFET PELLICULAIRE ELECTROMAGNETIQUE dit de Kelvin, qui éjecte à la surface des parois conductrice tout courant alternatif de très hautes fréquences.
    LE PRINCIPE repose sur l'enveloppe de l'engin, conductrice sur toute sa surface, de l'équateur à ses pôles, d'un courant alternatif d'électrons à hyperfréquence. Cette enveloppe est gainée dans sa totalité par un isolant ; de telle façon que le courant alternatif d'électron engendre un courant pelliculaire et enveloppant, de trous électroniques, en périphérie de l'isolant en contact avec le milieu extérieur. Pour cela, l'isolant présente une différence triboélectrique avec l'enveloppe interne en faveur des charges négatives. Tandis que, cette différence triboélectrique de l'isolant avec milieu extérieur (azote de l'air) sera en faveur des charges positives ; c'est un détournement de la capacitance d'un isolant et de l'effet pelliculaire !
Ici, ce courant continu, de trous électroniques, serait rendu alternatif, en hyper fréquence, de l'équateur, de la paroi conductrice de cet engin, à ses pôles.
    Nous aurions ainsi, un champ externe semblable à celui d'un condensé d'antimatière. Et parce que, dans les DIAGRAMMES DE FRIEDMAN, le TEMPS EST INVERSÉ pour nos ANTI-PARTICULES ; En parcourt de la vitesse de la lumière, équivalant au temps du maintien de cet état,

nous devrions avoir un EFFET TUNNEL SUR cette DISTANCE ; Car, l'engin est alors, délocalisé par un champ en Univers opposé temporellement. Cependant, dans un premier temps, avant d'atteindre une densité fonctionnelle, ce champ d'anti électrons isole progressivement l'engin de la gravité, pour donner un envol, identique aux ballons-sondes de la météo !
Pour maintenir ce champ pelliculaire externe avec l'effet de capacitance de la gaine isolante, l'extérieur peut être plaqué d'une nano couche d'argent (d'une résistivité la plus faible).
        =) CE DERNIER PROCEDE : d'effet pelliculaire électromagnétique de courant alternatif, associé à la capacitance d'un isolant ; permet aussi de charger, avec un courant alternatif en hyper fréquence, les microbulles de chaque chambre du super conteneur électrique, au niveau de la paroi séparant les chambres. À l'opposé de cette paroi, se trouvent alors les électrodes pour la décharge en continu. Nous nous retrouvons avec le FUTUR SUPER CONTENEUR A CHARGE ALTERNATIVE rapide et a decharge continue controlee, separees.
        =) UN DEUXIÈME DÉTOURNEMENT QUANTIQUE nous permettrait de VOIR LE PASSE D'UN LIEU, si nous utilisions cette chambre à trous électroniques, mis dans un état de Bose-Einstein, et utilisée comme une lentille dont nous pourrions contrôler la courbure. Cette lentille du « retour du passé » nous permettrait de détecter les quanta mémoires, avec l'activation des ondes retardées par le passage à travers la lentille d'un rayonnement énergétique auscultateur ; ce vecteur auscultateur proviendrait d'une première émission enregistrée, dont nous aurions renversé le déroulement d'émission.
    Une lentille de « vision du futur » serait beaucoup plus difficile à manipuler, car nous aurions pour un même lieu et un même moment une superposition d'état statistique de possibilité ; d'autant plus indiscernable, en % de devenir, que nous éloignions du présent. Ce qui ne devrait pas être le cas pour la lentille « retour du passé » ; si ma suggestion dans la page « les 8 univers », d'un fantôme de et dans notre univers, pour la mémoire du déroulement entre deux temps de Planck concomitants en mutation, est avéré.
        N'oubliez pas de vous rendre en début de page où je vous exposerai par date mes nouvelles "ACTUALISATIONS DES ÉPILOGUES".
        Cette étude est une prémices de la mise en place d'un plan en huit mailles. Elle peut aussi se poursuivre par des techniques (au lieu de technologie) ; par exemple avec "LA RELAXATION".

De Circum HUTI, le 08/10/2010, mdf : .