Vive MENDELEÏEV !


Les 8 règles

De l'ensemble des pages, sur l'univers, du premier livre, émergent alors les contraintes d'architecture dans les noyaux atomiques. Au nombre de huit, elles deviennent des règles de structurations nucléaires.

La première règle est imposée par le réseau diamantaire ; la deuxième par la brique diamantaire ; la troisième par le couplage de spin ; la quatrième par la coquille protectrice ; la cinquième par l'assemblage des nucléus alpha ; la sixième par le développement de la graine nucléaire ; la septième par le bourrelet torique de fission ; et la huitième par le couplage ultime.
De cet ensemble de règles, nous en tirerons les conséquences dans le tableau de Mendeleïev ; c'est-à-dire d'abord, les deux fois 8 groupes, et ensuite les 8 périodes.


1) Le réseau diamantaire du Noyau.

Le noyau atomique, d'après ma vue d'esprit (qui est à valider, à affiner, ou à infirmer par l'expérimentation et l'observation, dès que possible) est soumis aux contraintes imposées par le réseau diamantaire qui sous tend toutes agglomérations nucléaires.

Ce réseau diamantaire, vue précédemment est composé d'hexagones de Planck en forme de chaise. Dans chacun de ces hexagones ne peut se positionner qu'un seul baryon, soit un proton, soit un neutron (sinon un électron, ou juste un champ de possible). Cette architecture nucléaire impose des contraintes qui permettent de retrouver les correspondances physiques observées, pour les noyaux atomiques.


2) La brique diamantaire.

        2a) Récapitulons, pour le Spin.

Seul un espace support à 3 dimensions peut inclure de la matière. Cette déduction découle de l'équation d'Einstein sur les tenseurs dans la relativité générale. Elle est comparable à l'observation que seul des surfaces sont frontières entre volumes. C'est pourquoi, enchâssé dans le cube de Planck, soit la plus petite zone frontière de la 3D, son hexagone de Planck ne peut être une particule. Ce contenu 2D, à la limite donc, inférieure de tout en 3D (le cube de Planck), doit être vu comme un champ interne à son conteneur. Cependant, la projection volumique de cet hexagone sur la périphérie de son Cube de Planck le dote d'un artefact en particule dans son Univers en 3D support.
Bien que de dimension 2, l'hexagone ne présente qu'une face, sans dos, à l'inverse de tous plans en 3D. De plus, ses caractéristiques sont déterminées par deux autres propriétés. La première est due à l'orientation, soit vers l'extérieur, soit vers l'intérieur, de la normale à son unique plan (1 face, pas de dos). ET celle-ci se combine avec la position de sa face par rapport à l'axe de spin de son cube de Planck.
En effet tout Cube de Planck, abritant un hexagone, présente un axe passant par deux de ses sommets en antipode ; mais de telle façon que la normale au plan de son hexagone, soit toujours visible, d'où cet axe de spin (1/2, car 1 seul plan, pas de dos). Cette combinaison d'orientation de la normale et de positionnement de l'hexagone de Planck par rapport à l'axe de spin de son Cube de Planck est bien spécifique à un type d'Univers donné. Comme le positionnement, par rapport au plan hexagonal, ne présente que 4 choix (les 3 axes de sommet, et l'axe orthogonal à son centre), avec deux directions pour sa normale, nous retrouvons bien 8 agencements spécifiques à leur Univers (ils sont 8, aussi).
Le spin du Cube de Planck est donc dû à la propriété intrinsèque de son hexagone, il ne présente qu'une face et pas de dos. Cependant, ce spin passe obligatoirement par des sommets opposés du cube de Planck. Car s'il transperçait le centre d'une des faces opposées ou d'un des côtés opposés, son moment cinétique serait instable. Attachez une corde à un sommet d'un premier cube et une autre corde au centre d'une face d'un deuxième cube ; suspendez-les ; le premier pivote majestueusement sans vibration, tandis que le deuxième voit sa rotation perturbée par des oscillations chaotiques.
Pour rappel, nous avons vu dans "les particules" du livre sur la matrice, la possibilité de projeter, dans un cube de Planck, son hexagone en chaise ou en u. Cependant, pour la matière ordinaire cet hexagone est en transat. Cette dernière position est choisie pour la représentation suivante des deux fois quatre choix :

spin de chaque Univers

        2b) Soit 1 baryon : pour 1 hexagone de Planck.

Ainsi, un seul Baryon (: proton ou neutron) va se placer en totalité, et, donc, occuper un seul cube de Planck ; d'où sa masse due, en plus de sa forme et de sa nature, aux chocs et bousculades nécessaires pour vibrer et se mouvoir dans l'empilement spatial des cubes de Planck.
Mieux, la face de son hexagone (où résident ses trois quarks), ne peut prendre que 3 poses, bien précises, de telle façon qu'elle soit en concordance à toutes observations. Soit les 3 saveurs d'une particule matérielle ; à l'identique des trois générations pour les fermions, tel que l'électron, le muon (-) et le tauon (-).
Cela signifie pour les baryons stables, d'avoir trois fermions de même saveur, pour résister à toute interaction telle qu'une observation. En effet, le Spin du cube de Planck, n'existe que pour mettre en concordance d'observation, avec une amplitude perpendiculaire de 180° (1/2 spin), le seul plan de son hexagone, il n'a pas de dos.
Le spin lie l'hexagone à son cube de Planck, par le fait de délimiter, pour chacun, deux parties symétriques et égales par rotation, et passant par au moins un sommet.
Aussi, les baryons en transat sont les plus légers et aussi les plus courants, car seulement une portion de son plan, en un triangle rectangle équilatéral, est à la surface du cube de Planck.
Les baryons en trépied sont plus lourds, car seulement trois portions de son plan, chacun en triangle rectangle équilatéral, sont à la surface du cube de Planck.
Enfin, les plus lourds sont les baryons en coin droit, car toutes les portions de son plan, soit quatre triangles rectangles équilatéraux, sont à la surface du cube de Planck.

positionnement d'un quantum de matière

        2c) Tous en transat.

Comme il est plus facile de plier dans un conteneur de Planck, son hexagone en transat plutôt qu'en trépied, la majorité des baryons naturels sont donc en transat. Quant au pliage en coin droit, l'hexagone de Planck perd sa propriété quantique et dimensionnelle, vu qu'il forme deux faces de son cube de Planck, ce qui le rend totalement instable, et invivable.
Si on applique la valeur h (de Planck) aux côtés équilatéraux des triangles rectangles en contact avec une face de leur cube, alors on devrait retrouver les rapports de masse entre ses différentes saveurs ;
soit 1/2 (h)2 (doit-on rajouter +4(h) ?), puis 3/2 (h)2, et pour le plus lourd 4/2 (h)2 (doit-on rajouter +7(h) ?). Ce qui n'est pas le cas ; se peut-il, avec la prise en compte d'autres paramètres, on soit alors, dans ces rapports ?

Toutefois, vous avez dû remarquez, qu'à l'inverse des baryons en trépied ou en coin droit, seuls les baryons en trépied en une unique présentation.
En effet, les baryons en coin droit peuvent aussi avoir le plan orienté vers l'intérieur au lieu d'être présenté vers l'extérieur, mais dans ce cas, ils n'existent pas en 3D. En outre les baryons en coin droit et tapissant vers l'extérieur deux faces du cube de Planck, ne peuvent s'assembler au-delà de l'alpha, car ils ne peuvent être accouplés sur toutes leurs surfaces, en face à face, tête bêche. Donc, les baryons en coin droit n'aboutissent qu'à des neutrons hyperlourds très instables.
Quant aux baryons en trépied, la présentation des trépieds vers l'intérieur du Cube est possible mais l'exclue du monde en 3D. En outre, la présentation des trépieds vers l'extérieur, ne permet pas l'accouplement face à face sur toute la surface. Ces derniers n'existent que sous forme de neutron lourd instable.
L'exception des baryons en transat, c'est qu'une seule présentation existe. Elle les dote d'un spin, car ils doivent présenter leur face en totalité à l'observateur. Et leur permettent de s'accoupler non seulement en particule alpha, mais aussi par alitement face à face en tête bêche pour construire des noyaux atomiques complexes, que nous abordons plus loin.

        2d) Particules et champs

Si l'Univers est un pavement de cubes de Planck tous identiques, ce sont alors les plus petits espaces en 3D. Toutes les cotes du cube de Planck, sont par conséquent multiples entiers de la plus petite cote, cette dernière égale la distance de Planck. Or, ses diagonales sont des multiples racines non entières. D'où ; soit le cube de Planck n'a pas de diagonale interne et de plan, donc pas de face, seules les arêtes sont frontières ; soit il abrite une figure plane parfaite.
Cette figure parfaite, pour être le plus petit plan d'existence du réel, n'est que l'hexagone de Planck où toutes ses cotes sont multiples entiers de la longueur de Planck, ses arêtes égalent cette dernière. C'est pourquoi toute particule est une boîte de Planck cubique renfermant son hexagone de Planck.
En revanche, cette boîte primitive n'est pas parfaite (diagonales en racines multiples des arêtes). Pour y remédier, la particule s'entoure d'un volume aux cotes parfaites (il est pavé par des Cubes de Planck) dont leurs arêtes sont égales à la distance de Planck (la plus petite de notre Univers). Ce volume est la zone d'action quantique et devient l'unité d'extension de sa sphère d'action physique.

Ce volume parfait ne peut être qu'un parallélépipède rectangle gigantesque par rapport à son cube initial de Planck. Du fait que ce volume d'action quantique soit un parallélépipède rectangle parfait et que ses champs physiques se prolongent en multiples à partir de ces faces, impliquent que les trois champs orthogonaux sont différents en nature et donc en force. Car cette zone totale d'action, en expansion, est sphérique malgré le parallélépipède de base. D'où, pour une particule chargée, le fait que l'on distingue trois champs orthogonaux bien différents : un de déplacement, un électrique, un magnétique.
Ce parallélépipède rectangle de base est parfait, car toutes ses diagonales et arêtes sont des multiples entiers de la longueur de Planck.
Les mathématiciens trouvent que ses côtés doivent alors être proche des dix milliards d'unités (10.10) ; (voir page 101 de - Mathématiques discrètes et Combinatoire -, livre de la collection - Bibliothèque Tangente -, Éditions POLE). Quand le physicien mesure une particule (fermion), c'est en réalité son volume d'action quantique (le parallélépipède de base) et non pas sa boîte (le cube de Planck) ; sauf si cette particule est un photon (boson) qui se déplacent sur le pourtour des cubes de Planck paveurs de l'espace Univers.

        2e) Nucléon = 10+12 x L de Planck ! ; ?

La longueur de Planck est légèrement inférieure à 2 x 10-35 mètres. Or le diamètre d'un électron est inférieur à 6 x 10-15 m. L'électron est donc, environ 10+20 fois plus grand, que la longueur de Planck.
Ceci contrarie la représentation d'une particule fondamentale, en un hexagone dans son Cube de Planck. À moins que le diamètre mesuré de l'électron ne soit que celui du champ d'effet quantique, où s'exercent les forces de cohésion nucléaires.
Ainsi, les mesures concernent les champs quantiques associés et non pas le diamètre de la particule nucléaire.
Pour preuve ; entre un atome d'hydrogène classique et celui d'un atome d'hydrogène dont l'électron est remplacé par son frère plus lourd : le muon ; on trouve une différence de diamètre pour le proton. Cela serait donc, dû à l'interaction du champ plus réduit du muon avec celui de son proton ; le champ du proton étant alors, plus contracté.
Si la représentation en Hexagone de Planck est juste, alors la différence devrait être plus remarquable avec des atomes d'hélium, ou particule alpha.
En outre, le diamètre de l'électron, voisin de 6 x 10-15 m, est plus grand que le diamètre du proton, voisin de 0,8 x 10-15 m !
Remarque, même si on considère pour la longueur de Planck qu'elle ne concerne pas les côtés du Cube de Planck, mais seulement les 1/2 côtés de son hexagone alors, les nucléons seraient toujours supérieurs à environ 10+11 de son cube de Planck.

Un fermion basique (nucléon, électron, ...) interagit alors, avec un autre par l'imbrication des cubes de Planck, paveurs de l'espace environnant, en un réseau diamantaire. Ceci sur une distance définit par le rapport du poids de chaque particule. Cette extension de l'imbrication, au sein des cubes de Planck, entre deux fermions basiques, délimite le champ quantique nucléaire de la particule, à ne pas confondre avec le vrai diamètre de cette particule, si l'hypothèse est avérée.
Vu que le neutron isolé ne peut perdurer à l'inverse du proton même solitaire, ce champ est donc natif des particules chargées ; et permet aux fermions neutres pris dans ce filet, de persister en un noyau nucléaire.
Lors de l'imbrication des cubes frontières, les distances perdues doivent être instantanément remplacées par de nouveaux cubes ce Planck, ce qui refroidit l'environnement nucléaire. Ainsi, s'entrevoit une nouvelle étape cosmologique ; où après la séparation du Néant en particules noires opposées et surtout en neutrons et antineutrons ; et après, la condensation des antineutrons en hyper trous noirs centraux avec dilution des neutrons par les différentes particules noires ; certains neutrons primitifs, soumis à la dilution, se transforment alors, en protons, graines de nucléarisation locale en réseau diamantaire. Ce qui contribue à refroidir l'ensemble du gaz primaire en neutrons ; l'inflation, quant à elle, est initiée par l'effet répulsif des particules noires.

        2f) Les Nucléus Alpha

Si les hexagones de Planck peuvent aussi, mettre en commun leur boîte de Planck ; alors un cube de Planck peut en contenir jusqu'à 4 hexagones de Planck ; c'est-à-dire jusqu'à 4 baryons enchâssés. Comme dans le diamant, où la mise en réseau cubique centré des sommets de quatre faces en hexagone de Planck, dont elles partageant deux à deux un même côté, construisent l'arrangement le plus compact possible dans un même cube de Planck. Cette structure diamantaire est évoquée dans la page sur Les Particules dans le premier livre.
Ceci implique en premier que l'assemblage de deux à quatre nucléons au maximum, au sein d'un Cube de Planck, rend quasiment indestructible l'ensemble ; et constitue la base, des noyaux atomiques, pouvant contenir jusqu'à quatre baryons ; ainsi que le noyau atomique le plus élémentaire : la particule alpha, avec toujours quatre baryons, pouvant se mouvoir au sein de l'espace (pavé de Cube de Planck).
Lorsque, en le plus simple noyau atomique, le quarté nucléaire est isolé, les nucléons ne peuvent être que de deux protons au maximum, et d'un ou de deux neutrons pour consolider se quarté de Planck solitaire.

particule alpha

Quand, au lieu de transat, ce nucléus diamantaire est composé de baryons en trépied lourds (type muonique), tous voient leurs trois plans triangulaires accolés dos à dos, soit non plus deux protons, mais la possibilité de quatre protons. ET ces particules alpha, inconnues jusqu'à présent, n'ont pas de spin distinctif, d'où sûrement une très grande stabilité dans le temps.
( Ci-joint le patron de deux diamants en trépied.
Remarque sa forme, pour un engin hyper mobile, est idéale, si les triangles sont des ailes sustentatrices, voire propulsives. Ce pourrait être aussi, la forme d'une cabine spatiale de récupération, où les ailes déformeraient leur cintrage, par rotation d'un cône elliptique dans une membrane triangulaire en carbone, pour permettre une grande précision dans le planer. )
    Lorsque, au lieu de transat, ce nucléus diamantaire est composé de baryons en coin droit très lourds (type tauonique), ce sont toutes les faces du cube de Planck associé qui elles sont occupées par au plus 3 baryons. Ce nucléus à baryons en coin droit constitue alors, la particule d'un rayonnement lambda, inconnu jusqu'à présent, construite toujours autour d'un proton très lourd avec deux neutrons très lourds, à la périphérie d'un Cube de Planck commun.

patron de particule alpha en trépied

        2g) Le pavé

Le plus petit nucléus paveur du réseau diamantaire est la particule alpha. Du fait de la première contrainte, (1 seul baryon par hexagone) le nucléus alpha ne peut être constitué que de 2 protons et de 2 neutrons, au plus. Cependant, le réseau diamantaire du noyau peut contenir des nucléus alpha incomplets, qu'avec des neutrons, ou avec un seul proton.
Auscultons la représentation d'une particule alpha ordinaire, donc en transat :
-) L'on constate en premier que l'hexagone de Planck jaune et le vert partagent deux arêtes en un plan triangulaire. Donc, ils s'ignorent totalement, idéal pour des protons.
-) L'hexagone de Planck bleu et le rouge (idem pour rouge et jaune, ou jaune et bleu), eux partagent deux arêtes mais en un toit à quatre pentes : 2 triangulaires et 2 rectangulaires. Ils sont donc, reliés ; seulement, possible si ce n'est pas un couple de protons, leurs charges n'étant plus adossées.
-) Les autres combinaisons à 2 arêtes communes pour deux mêmes hexagones de Planck, avec le vert, ont des toits intermédiaires entre le plan et la quasi-pyramide.
-) Conclusion, seul un sommet de la particule alpha, présente un plan triangulaire par accolement dos à dos des faces de deux hexagones de Planck, soit deux protons. Et un des 3 sommets, avec un toit quasi pyramidal, est en opposition (voir figure suivante :).

spin d'une particule alpha

        2h) Le spin des Nucléus alpha

Dans l'image précédente, deux points blancs en opposition, démarquent l'axe principal du cube de l'alpha. Or l'axe de spin de la particule alpha, dans son cube de Planck, est la combinaison des quatre axes de spin issus de l'union de quatre baryons ; cet axe de spin dans le cube passe donc, obligatoirement par deux sommets antipodiques de l'alpha. Aussi (voir figures), cet axe joignant ces deux sommets, transperce le milieu de deux faces antagonistes du cube de Planck associé. Comme, le spin de sa boîte, passe obligatoirement, par des centres opposés du cube ; il va donc perforer l'alpha, à la base de sa seule pyramide triangulaire (due à la rencontre des trois hexagones, bleu, jaune, rouge) et par le sommet opposé situé à l'extrémité de son pied, le triangle plat. Si on ne considère que le nucléus alpha (sans sa boite) son spin passe par le sommet situé à l'extrémité de son pyramidion triangulaire ; mais surtout, traverse le milieu de l'hexagone en opposition, ici le vert.
Ainsi, ce décalage du spin total, suivant que l'on considère le quartet ou son cube, entraine une vibration, qui se propage sur une distance de surement 10+12 fois plus grande que le cube source, en un réseau diamantaire.
Il est remarquable que les fermions soient placés dans un hexagone de Planck qui confère à son cube un spin 1/2 entier, car l'absence de dos oblige la particule à se présenter de face avec une amplitude de 180°.

Tandis que le photon occupe, sans plis, un hexagone de Planck, avec son artefact disposé sur trois cubes de Planck alignés. Le spin donc, d'un fermion, est centré aux deux extrémités planes de son hexagone plié ; les champs partent des arêtes externes du cube central ; car l'hexagone de Planck ne peut exister en dehors de son cube, sauf sous forme d'un couple de champs orthonormé, où leurs faces et dos sont discernables. Voir les figures dans quantum d'énergie / quantum de matière.
Le spin d'un nucléus alpha va être différent, suivant que l'on observe l'un de ses quatre hexagones (1/2 x), ou que l'on observe son cube de Planck (alors, somme des 1/2 x = 1 x). De plus, le spin de l'alpha, a une très faible amplitude de rotation, la partie triangulaire aplatie doit être cachée à l'observation ; c'est une aberration en 3D normal (mais pas en 2D quantique), car c'est l'adossement de deux hexagones de Planck or ils n'ont jamais de dos dans notre Univers. Le conflit de positionnement du spin, plus l'obligation de cacher cette singularité, incite la particule alpha à se lier à d'autres pour une plus grande harmonie.


3) Le couplage en opposition de spin.

Le spin d'un hexagone de Planck occupé par une particule (neutron ou proton), peut être représenté comme un tour complet sur soi suivant un axe. Sauf que cet hexagone quantique a 12 sommets ; d'où un tour, pour les 6 sommets classiques, suivit d'un deuxième tour pour les 6 autres sommets sœurs, afin que l'hexagone soit dans la même position qu'au départ de la rotation, ce qui aboutit à un demi-spin.
Nous avons vu précédemment, que l'axe de spin s'oriente différemment par rapport aux hexagones de Planck dans leur cube quantique, suivant l'Univers concernés (8 au total). Comme, les directions possibles d'axe de spin sont relatives et que je ne sais laquelle attribuée à notre Univers ; par convention, considérons que cet axe de spin soit orthogonal au plan central des hexagones de Planck. Ainsi, la mise en place des hexagones de Planck dans les nucléus diamantaires peut être déduite par comparaison aux rouages d'une montre. Et bien que la direction de l'axe de spin ne change pas le fait qu'il y ait toujours que deux spins antagonistes possibles d'engrenages : soit +1/2 et -1/2 ; cette convention est bien plus lisible. Dans l'agencement des particules au sein du nucléus alpha, nous retrouvons alors l'exclusion de Pauli ; où des particules identiques ne peuvent cohabiter dans un même lieu que si leurs spins sont en opposition, à l'identique d'un engrenage fonctionnel où ses deux roues tournent en sens inverse. Il est à noter que, lorsque l'on connaîtra les relations des caractéristiques nucléaires avec l'axe de spin, l'on pourra alors mathématiquement les extrapoler dans chacun des sept autres Univers.
    C'est pourquoi au sein du réseau diamantaire, dans chaque nucléus alpha, les protons et les neutrons ne peuvent s'assembler que si les spins pour des particules identiques (soit des protons, soit des neutrons) sont de sens opposés. Deux protons ou deux neutrons s'ils sont contigus (ou en face à face) doivent avoir leur spin en opposition. Cette contrainte de spin établit alors, l'existence de quatre noyaux alpha différenciables. Soit +1D, +1G, -1D, -1G ; lorsqu'ils sont complets en paire de protons et en paire de neutrons.

Ci-joint le canevas des 4 noyaux alphas possibles.
patron des spins d'une particule alpha


4) La coquille protectrice de neutrons.

Le nucléus alpha une fois complet, est bien le plus petit lieu quantique, où l'aberration des hexagones SANS DOS, car de Planck, disparaît. Une conséquence est que l'intrication quantique entre particules jumelles, pour des noyaux atomiques formés de nucléus alpha complets, normalement ne peut plus exister. En revanche dans le réseau diamantaire les nucléus alpha s'assemblent en mettant en commun et en vis-à-vis, le plan au niveau de la face (il n'y a pas de dos) d'un de leurs hexagones de Planck, c'est-à-dire qu'ils partagent une même maille pour un de leurs hexagones de Planck respectifs.
En outre, la graine atomique présente toujours à sa périphérie les singularités en 2D de ces nucléus frontières. Pour soustraire ces singularités de surface, la graine nucléaire s'entoure d'une coquille de nucléus alpha composés que de neutrons. Ces nucléus alpha en neutrons, de préférence par paires, de la coquille atomique, se positionnent sur la graine nucléaire, pour l'isoler, et ainsi nicher les singularités de frontières de la graine. Pour cela, l'assemblage frontalier pour un alpha à couples de protons et neutrons de la graine passe par l'accouplement au niveau de ses protons avec des alphas à couple unique de neutrons, de la coquille.

Dans ce cadre d'isolement, les nucléus alpha de la coquille s'accouplent au niveau d'un de leurs hexagones de Planck vides de proton, avec le proton frontalier d'un des alphas périphériques de la graine. Ainsi, tout en respectant le réseau diamantaire de pavage (règles décrites plus haut) par l'absence de proton des alphas de la coquille, ils recouvrent la graine sans donc, y être attachés par un proton. Bien qu'une moitié des alphas frontaliers de la graine atomique, ne présente pas de singularité, mais un neutron. Au niveau de ces neutrons d'alpha frontaliers de la graine, pour que la coquille enferme dans sa totalité la graine, les couples d'alpha à neutrons (uniquement) se positionnent sur chaque neutron frontalier de la graine, de telles façons que l'un des alphas neutroniques intègre l'intérieur de l'enveloppe, tandis que son partenaire se joint à la surface de la graine. Ces couples de nucléus alpha neutroniques purs sont incorporés au réseau diamantaire par la mise en commun de leur hexagone de Planck dépourvu de proton en suivant toujours les règles décrites plus haut. En résumé, c'est par l'accouplement d'hexagone de Planck dépourvu de protons que se démarque la frontière entre la graine de protons neutrons et sa coquille de neutrons.

Le nucléus alpha, lorsqu'il comporte qu'un seul proton, nécessite pour dissimuler le dos inexistant de son hexagone de Planck, la présence de neutrons à son opposé. Dans ce cas, le proton solitaire ne peut être qu'au niveau du sommet pyramidal des nucléus diamantaires. Cependant, la pointe triangulaire plane du Nucléus alpha est de dimension deux, elle n'a pas d'épaisseur. Cette aberration nécessite qu'elle soit cachée par enchâssement entre deux autres nucléus du réseau. En conséquence, les neutrons excédentaires se placeront en priorité dans ces nucléus adjacents, au niveau de la pointe plane.
En outre, les protons doivent non seulement être isolés de la répulsion des autres assemblements de protons du noyau atomique, mais aussi de l'attraction réciproque électromagnétique avec les électrons orbitaux de l'atome.

C'est pourquoi les atomes présentent plusieurs isotopes avec un surplus de neutrons par rapport aux protons ; parce que ce surplus s'agence autour de la graine atomique de nucléus alpha complet, en une coque périphérique, quasiment sphérique pour l'isoler régulièrement des effets destructeurs de l'électromagnétisme.
Ainsi, l'isotope à la plus longue durée d'existence, pour un atome donné, sera celui qui cachera le plus de pointes triangulaires des protons périphériques de la graine nucléaire.


5) L'assemblage nucléaire.

Cependant, la mise en réseau étendu cubique centré, non seulement, se réduit en deux modes de pavement possible, que nous allons détailler pour le noyau nucléaire ; mais en outre l'inclusion des alphas dans ce réseau diamantaire atomique, nécessite que les nucléus alpha s'accouplent toujours en tête-bêche.
Ainsi, lorsque l'accouplement de ces nucléus alpha passe par l'union d'un de leurs protons respectifs, c'est toujours entre des protons respectifs positionnés à l'identique dans leur alpha, afin de respecter le réseau diamantaire. De plus, leurs spins, pour ces protons en union, sont toujours en opposition pour permettre leur engrenage quantique, dans la conformité du principe d'exclusion de Pauli des spins demi entiers (tel que ceux qui sont contenus dans les hexagones de Planck).
À l'inverse, quand l'accouplement de nucléus alpha passe par l'union d'un de leurs neutrons respectifs, cette union concerne alors que les neutrons en opposition dans un nucléus alpha, pour permettre le pavement diamantaire de cette graine nucléaire. De plus, comme l'union entre ces neutrons respectifs à l'opposé passe par l'engrenage quantique de leur spin, alors les neutrons de même position dans leur nucléus alpha présentent le même spin.
    D'où les seuls accouplements de pavage nucléaire suivant : Soit +1D avec -1D et vice-versa ; Soit +1G avec -1G et vice-versa ; toujours en tête bêche et entre même nature de baryons ( : soit protons, soit neutrons).

En conséquence, pour une même nature atomique, deux graines nucléaires de type opposé devraient exister. Ce qui statiquement réduit la possibilité de fusion des noyaux très légers dépourvus de coquilles neutroniques ; à vérifier. Je me réfère en priorité à la fusion de l'hydrogène primitif, ainsi qu'à la fusion dans une bombe atomique à hydrogène.
L'accouplement des nucleus alpha, au sein du réseau cristallin de toute graine nucléaire, est dicté par la nécessité pour s'exprimer en mode physique 3D de cacher la singularité triangulaire en 2D de chaque nucleus alpha. C'est pourquoi les alphas s'accouplent de préférence par leurs protons, pour soustraire ces singularités quantiques (en 2D) en les intégrant par couplage dans le réseau diamantaire de la graine nucléaire (en 3D).
Cependant, au fur et à mesure des assemblages protoniques des alphas, se crée une dissymétrie. Dès qu'elle devient flagrante, cette dissymétrie de la graine atomique contraint alors de passer au mode d'accouplement par neutron jusqu'à une certaine harmonisation, en rétablissant un pavement équidistant de nucléus alpha. Par ces règles de couplage, nous allons pouvoir approfondir la construction nucléaire des noyaux atomiques.

Du fait que les nucléus alpha s'accouplent toujours en tête bêche par couple soit de +1D et -1D soit de +1G et -1G ; tous les nucléus alpha ont leur spin total dans la même direction et leur aplat triangulaire, pointent tous dans la même position et direction ; l'ensemble alors présente une fonction d'onde identitaire commune, en condensat de Bose-Einstein.
Remarque, hors des contraintes de Pauli, les protons sont tous alignés suivant deux plans, identique à ceux de la particule alpha et qui crée dans toute graine nucléaire un pôle à surfaces de neutrons et un pôle à surfaces de protons ; d'où les champs électromagnétiques des étoiles (même effondrées), tant que tous les protons n'auront pas capturé les électrons.
Plus tassé, dans une étoile à neutrons, tous les emplacements d'hexagones des nucleus alpha du réseau diamantaire sont occupés par deux neutrons en face à face (et de spins opposés). Cette fois les particules alpha s'imbriquent en un réseau diamantaire neutronique. Pour un trou noir, c'est l'orientation commune de ses alphas qui dictent alors le plan d'effondrement du trou noir, de circonférence égale au diamètre de l'étoile à neutrons mère complètement refroidie. Cet effondrement, semblable à celui des tours d'un château de cartes, s'effectue en deux plans têtes bêches de nucleus alpha à neutrons hyperlourds ; dont les sommets pyramidaux respectifs sont en opposition par rapport à ceux du plan adjacent ; d'où leurs axes d'éjection. Ces noyaux de condensation sont bien différents des atomes.
    Sinon, dans les noyaux atomiques et leurs isotopes, les particules alpha fusionnent leur hexagone de Planck respectif pour s'accoupler, en un agencement imposé par la mise en commun de leur axe de spin en parallèle, mais aussi par glissement et chevauchement de leur cube pour étendre le réseau diamantaire.
En effet, Les 4 fermions d'un nucléus alpha présentent, orientés vers l'extérieur, le plan unique (la face, il n'a pas de dos !) de leur hexagone de Planck. Le principe d'exclusion de Pauli, dans un réseau diamantaire avec des hexagones de Planck, impose quelques règles d'assemblage en diamant :
  -) Un fermion ne peut partager, avec un autre, le même emplacement d'hexagone de Planck, que s'ils sont identiques (et en face à face), car le placement des sommets de leur corde d'énergie, doit être similaire. Soit, donc, des protons, soit des neutrons. Sinon, la liaison n'est pas assurée ; d'où désintégration ou changement possible d'un neutron en proton.
  -) Il ne peut partager, avec un autre confrère, le même emplacement d'hexagone de Planck, que s'ils se font faces (ils n'ont pas de dos !). Sinon ils s’additionneraient pour donner un fermion d'une saveur plus lourde (c'est le cas dans les étoiles à neutrons).
Il en résulte que seul un couple identique de fermion en face à face peut partager le même lit.
  -) Surtout, ces couples ont une direction de spin opposée. Les couples de fermion dorment tête-bêche en respect du principe d'exclusion de Pauli.
  -) Aussi les agencements des couples de protons doivent influencer ceux, en couches, des couples d'électrons de l'atome.
En outre, tout nucléus alpha peut être incomplet, avec au minimum un seul proton ou un seul neutron.

Conséquence : le diamètre nucléaire grandit dès qu'un nucléus alpha avec un seul fermion est rajouté ; puis diminue jusqu'à ce que quatre fermions occupent le nouveau nucléus, voire lors de la fusion de nucléus pleins voisins, par couplage avec l'un de leurs protons. En effet, les cubes de Planck, d'abord avec leur hexagone puis avec leurs nucléus alpha, par leurs quatre hexagones de Planck finaux, se confondent, sous la contrainte du réseau en diamant.
La répétition de ce processus couplé avec le grossissement de la coquille nucléaire protectrice, explique l'excédent croissant de neutrons, dans le tableau de Mendeleïev. d'autant plus que la fonction protectrice de la coquille atomique doit être le plus sphérique possible, ce qui impose de combler les vides possibles entre elle et la graine atomique avec des alphas neutroniques :
Ci-joint le patron des particules alpha ordinaires pour vous permettre de visualiser et de manipuler en 3D, les agencements des différents noyaux atomiques.
patron de particule alpha

6) Le développement de la graine nucléaire

        6a) Le nucléus Matrice.

Le nucléus en particule alpha ou noyau d'hélium, est donc drapé par 2 neutrons et 2 protons ; c'est le premier noyau nucléaire doublement magique. Les physiciens qualifient de magique certains noyaux dont la répartition spatiale, des neutrons ou des protons, est optimisée à la sphère. Leur noyau est dit sphérique ; pour ma part, c'est le champ quantique associé qui est quasi sphérique ; cependant, les noyaux associés à ces champs doivent présenter une forme régulière, où les axes de symétrie sont de longueurs égales et réparties sphériquement. Ils sont les premiers, dans la progression des noyaux par leurs masses, présentant la forme polyédrique associée, donc, ils possèdent très souvent des creux en particule alpha. Les physiciens déduisent la structure magique des noyaux à partir des effets hyperfins accouplés au gradient issu de la distribution électronique périphérique. Ainsi, le moment quadripolaire des noyaux magiques est nul ; tandis qu'il est très positif pour les plus déformés (B10, Lu175, Fr167) ; certains l'ont très négatif (O17, Cl35, Cu63, Cu65, Nb93, Ac227 et le plus - : Sb123). Dans le tableau périodique, la plupart des noyaux magiques sont proches de la dernière colonne des gaz rares, à un ou deux alphas de moins, voire à quatre à huit alphas pour les plus éloignés. De plus, le rayon atomique dans chaque ligne va en diminuant, à quelques exceptions près, jusqu'à la dernière colonne, et augmente très brusquement lors de la transition de cette colonne des gaz rares vers la suivante, la première colonne.
Ceci marque, qu'une fois le noyau magique atteint, donc avec une forme uniforme, celui-ci possède quelques creux en alpha ; qui se comblent jusqu'à la colonne des gaz rares ; et ensuite un de ces alphas migre en périphérie par accouplement avec le nouvel alpha à un proton ; d'où l'augmentation brutale du diamètre nucléaire.

Le premier noyau magique est celui de l'hélium, il est formé de 2 protons et de 2 ou 1 neutron ; c'est aussi, le noyau alpha. Étudions donc les formes les plus vraisemblables pour ces noyaux magiques, c'est-à-dire les différentes itérations en nucléus fondamentaux, où s'encastrent les alphas.
    A) Le nucléus MATRICE : c'est la particule alpha, en [2N et 2P] ; soit Z=2 pour l'Hélium, son noyau le plus commun, avec deux neutrons, il est doublement magique.
le nucleus des noyaux atomiques

        6b) vers Le nucléus de Première Itération

Deux alphas s'accouplent en quatre architectures différentes. Soit par leur neutron et nous avons un couplage chiral en forme de coffre (de pirate) à deux pointes plates en opposition (l'une pour le pied unique, l'autre pour la serrure du couvercle) ; donc, un coffre, où la singularité triangulaire du proton nous faisons face, se trouve soit à droite du coffre pour l'un, soit à gauche pour l'autre.
Soit par couplage au niveau de leur proton. C'est-à-dire si c'est par leur proton de base, leur couplage donne une forme allongée de bâton torsadé, dont les terminaisons sont chacune l'extrémité pointue pyramidale d'un alpha. Tandis que si c'est par leur proton de côté de leur pyramide, leur couplage donne par contre une forme de barque sans pointes plates, à fond et dessus bosselés.
Ces trois formes, issues des quatre couplages d'alpha possibles, stipulent qu'il doit exister entre autres, donc trois noyaux de béryllium, dont l'un est chiral (donc avec une polarisation détectable). Il est de plus concevable de créer, dans des conditions extrêmes (proche de ceux du Big Bang), trois types de rayons à ions de béryllium (à l'image du rayonnement alpha), et dont l'un est polarisé.
Remarque, à l'inverse des couplages par neutron, les deux formes issues du couplage par leur proton, cachent les singularités des protons en pointes plates. La nature favorisera donc les bérylliums et atomes à couplage d'alpha en forme de bâton vrillé ou en barque, plutôt que la forme chirale en coffre à pointes issues de l'assemblage par neutrons.
    Ensuite l'accouplement entre deux couplages d'alpha aboutit au B) Le Nucléus de PREMIÈRE ITÉRATION qui regroupe donc quatre alphas ; il est en 4x[2N et 2P], soit Z=8 pour l'Oxygène, son noyau le plus courant, avec 8 neutrons, est le deuxième doublement magique. Ce noyau se bâtit en un tétraèdre creux de quatre alphas ; avec un alpha par sommet et pas d'alpha au centre.

Attention, tous les alphas, dans un noyau atomique, présentent la pointe plate toujours dans la même direction ; dans un sens pour les alphas sur un même plan, dans le sens opposé pour les alphas en opposition. Car, ils s'agrègent en un réseau de cristallisation diamantaire.
le noyau atomique de Néon
  En outre, l'ajout d'un cinquième alpha au centre du tétraèdre conduit au deuxième gaz rare le Néon, soit Z=10. Au cours de la construction des noyaux suivants, la forme tétraèdre se conserve, mais l'alpha central glisse pour attribuer une queue au tétraèdre, à nouveau creux. Enfin, le tétraèdre creux voit une de ses bases adopter jusqu'à trois queues en alpha, pour aboutir au Silicium, que nous détaillerons plus loin.

        6c) vers Le nucléus de Deuxième Itération

Le tétraèdre creux voit sa base devenir une grappe d'alpha jusqu'apparaît : B') l'assemblage en opposition par leur base, de deux tétraèdres creux avec une queue en alpha ; c'est-à-dire : 2x(4x[2N et 2P]+2x[2N et 2P]), soit Z=20 pour le Calcium ; aboutit à un noyau simplement magique. Ce dernier doit être le moins sphérique de tous les noyaux magiques, il ressemble à un bâton noué creux.
Au fur et à mesure du rajout de proton pour obtenir les noyaux plus lourds, le centre du bâton va se remplir de nouvelles queues en alpha ; elles renforcent la liaison entre les deux tétraèdres creux antagoniques. Ceci jusqu'à obtenir B") l'assemblage en opposition de deux tétraèdres creux, chacun avec une base à trois queues alpha. Mais suivant le tétraèdre ; elles se disposent sur la base différemment. L'un des tétraèdres se dote de 3 queues alpha centrales sur une base, c'est la partie mâle que je baptise Socle, car il positionne sa sœur. Tandis que son anticlimax se dote de 3 queues alpha en périphérie sur une base, c'est la partie femelle ou Stature, car elle oriente le noyau atomique en deux pôles distincts, vue de l'intérieur.
Cette association est donc, en (4x[2N et 2P]+3x[2N et 2P])+(4x[2N et 2P]+3x[2N et 2P]), soit Z=28, pour le noyau de Nickel. Le nickel est simplement magique, il conserve la forme de bâton enflée au centre.
Il conduit au gaz rare de Krypton (Z=36) par ajout de quatre alphas, un alpha dans le creux de chaque tétraèdre et deux alphas placés au centre du nœud, alignés et en opposition aux protons centraux des alphas du plan supérieur.
Remarque : l'une des parties en tétraèdres creux à trois queues, donc en (4x[2N et 2P]+3x[2N et 2P]), soit Z=14 pour le Silicium, était considérée comme magique, car au lieu d'être sphérique (en champ) elle est en soucoupe. Le Silicium apparemment comporte deux types de noyau, un mâle et une femelle. Mais il est plus vraisemblable que la configuration en socle soit la seule présente à l'état libre ; tandis que la configuration femelle n'existerait qu'au sein du Nickel et de ses sœurs, par migration latérale des trois queues alphas. D'où le fait que le Silicium ne soit pas magique sauf s'il est intégré dans le noyau familial des Nickels. Ce tétraèdre creux à trois queues sous forme du noyau indépendant de Silicium, conduit au troisième gaz rare, l'Argon (Z=18), par ajout de deux alphas, non pas dans le creux, mais face à l'alignement des deux protons de la triple queue d'alpha.

le noyau atomique du Nickel
  L'accumulation des alphas permet d'aboutir au C) Nucléus de DEUXIÈME ITÉRATION : un grand tétraèdre, dont le sommet formé d'un tétraèdre creux chapote trois tétraèdres pleins, et dont ces quatre sommets abritent, dans le creux, un trio d'alphas renversés et ancrés à trois autres alphas dans le plan supérieur, en opposition. Les côtés de ce grand tétraèdre mesurent donc quatre alphas. Il est en (1x(4x[2N et 2P]))+(3x(5x[2N et 2P]))+(3x[2N et 2P])+(3x[2N et 2P]), soit Z=50, pour le noyau d'Étain (Sn). Il est magique, sa forme est proche de celle du noyau doublement magique de l'Oxygène 16 (Z=8).
Ce grand tétraèdre par ajout de deux alphas, l'un au cœur du tétraèdre creux et l'autre pointant à l'opposé, au centre d'une des grandes bases, conduit au cinquième gaz rare, le Xénon, soit Z=54.

        6d) vers Le nucléus de Troisième Itération

La poursuite de cette agglomération de nouveaux alphas permet d'aboutir au D) Nucléus de TROISIÈME ITÉRATION : le noyau est un octaèdre de David, dont l'axe central est issu du noyau de Nickel en forme de bâton au centre boursouflé. L'octaèdre de David est composé d'un couple en opposition et emboîté de deux grands tétraèdres vus précédemment. Ces deux grands tétraèdres à quatre alphas de côté sont emboîtés sur une hauteur de trois alphas à partir de leur base ; le quatrième alpha dépasse donc en un des sommets de cet octaèdre de David. Cet ensemble enferme en son centre un plan pouvant contenir six alphas imbriqués, seulement remplit de trois alphas dans le même sens ; ces derniers orientent le noyau par les pôles (l'alpha émergeant de l'autre base). Cet octaèdre de David orienté aboutit, proche des pôles, à deux creux, et trois creux dans la partie hexagonale centrale.
Il peut être, comme pour le Nickel, divisé en deux parties, l'une femelle, l'autre mâle. Ainsi la stature ou partie femelle est en (1x(4x[2N et 2P]))+(3x(5x[2N et 2P])) soit 38 protons. Tandis que le socle ou partie mâle est en (1x(4x[2N et 2P]))+(3x(5x[2N et 2P]))+(3x[2N et 2P]) soit 44 protons. L'assemblage en octaèdre de David aboutit à Z=82 pour le Plomb, doublement magique lorsqu'il comporte 126 Neutrons ; s'en est l'isotope stable 208 le plus abondant, suivi des 206, 207, 204.
Cet octaèdre de David conduit au gaz rare Radon, par ajout de deux alphas ; chacun sûrement dans le creux de chaque tétraèdre polaire.

le noyau atomique du Plomb


7) Le bourrelet torique de fission.

Au final, cette poursuite de l'agrégation des nucléus alpha en noyau atomique plus complexe devrait aboutir à l'octaèdre polytope croix de Schläfli à 6 sommets. Ce dernier n'est que le remplissage de l'octaèdre de David ; dû aussi à la perte de l'alpha dépassant chaque plateforme triangulaire à protons, et qui réduit ainsi, cette graine de 8 à 6 sommets. (Pour les différents polytopes de Schläfli, un excellent article dans le N° 138 de TANGENTE du 01-02 / 2011 page 48.)
Cependant, ce passage de l'octaèdre de David au polytope croix à 6 sommets de Schläfli, s'accompagne d'un ceinturage entre les bases triangulaires à proton, dû à l'agrégation d'alphas en neutron, futurs composants à couple de protons des noyaux plus complexes.

C'est pourquoi, ce tore, qui enserre la graine nucléaire en octaèdre de David, fait partie de son enveloppe protectrice d'alpha de neutrons (sans proton). Ainsi, cette ceinture, par sa pression d'assemblage, encourage la séparation de l'octaèdre de David, en deux grands tétraèdres (à 4 alphas de côté). Ainsi, ce n'est pas vers un unique nucléus en polytope croix à 6 sommets de Schläfli, que se poursuit l'assemblage, mais bien vers la différenciation en deux grands tétraèdres évolutifs se séparant par leur pointe, ceci au centre de l'ancien octaèdre de David. Ce qui aboutit à des noyaux atomiques de plus en plus facilement fissibles. Ces deux nouveaux grands tétraèdres (de 4 alphas de Côté) sont les couples de E) Nucléus de QUATRIÈME ITÉRATION.


8) Les couplages ultimes.

Or le polytope de Schläfli à 6 sommets est bien la forme ultime de condensation des alphas en réseau diamantaire nucléaire. Il diffère de peu par rapport à l'octaèdre de David, juste par la perte de l'alpha émergeant au niveau de deux sommets. C'est pourquoi les deux grands tétraèdres évoluent non pas vers l'octaèdre de David, mais plutôt vers ce couple de polytopes croix, à 6 sommets de Schläfli, opposés. Ce couple de polytope se fonde sur un couple de F) Nucléus de CINQUIÈME ITÉRATION. Ces graines nucléaires sont très difficilement synthétisées, car le couple issus des deux grands tétraèdres est séparé par un disque appartenant à l'enveloppe protectrice à neutrons.
Cependant, au fur et à mesure de la construction du couple de polytopes de Schläfli, la pointe d'alpha au niveau de la séparation est remplacée par un pavage en triangle de protons. Ces deux plans triangulaires à protons peuvent alors se confondre pour former un bâton noueux de deux polytopes de Schläfli, c'est la G) Nucléus de DERNIÈRE ITÉRATION pour les noyaux atomiques pouvant exister par synthèse technologique uniquement. Dès qu'ils présentent cette dernière itération, ces ultimes noyaux nucléaires redeviennent stables, mais ne sont pas naturels. Cette itération est donc, présente que dans les derniers éléments hyperlourds de la huitième période du tableau de Mendeleïev, aboutissant au noyau nucléaire suprême, à 168 protons.
L'architecture proposée pour ces derniers noyaux, si elle est juste, permet l'obtention manufacturière de ces noyaux ultimes qui apporterait un bon technologique, vue qu'ils doivent présenter des caractéristiques physiques et chimiques exacerbées, voire exotiques. Tout en sachant qu'il faut sortir les graines de leur enveloppe protectrice à neutrons, juste avant la rencontre des noyaux sources dans cette synthèse nucléaire ; peut-être après avoir traversé un nuage de noyau léger en fusion qui les dépouillerait de leur enveloppe à leur profit.

Le couple de polytopes croisés à 6 sommets de Schläfli, serait donc la forme ultime de condensation des alphas en réseau diamantaire nucléaire. Au point que les étoiles à neutrons seraient en réalité un pavage de bâton formé de ce couple de Schläfli saturé en neutrons. Le passage d'une étoile à neutrons en un trou noir, passe alors par la transformation des protons de chaque polytope de Schläfli en neutron, avec la création de positons et électrons. Les positons étant alors éjectés de l'étoile à neutrons, ils rencontrent ensuite le nuage d'électron qui entoure l'étoile et crée un rayonnement gamma. Dès qu'un couple de protons partageant un même hexagone du réseau diamantaire, il se transforme en un couple de neutrons. Ensuite tous les alphas au-dessus ou en dessous s'effondrent sur l'une des faces de cet hexagone de Planck du premier aplatissement en neutrons. Le processus, instantané à l'échelle de Planck, aboutit à un plan hexagonal géant à double face distincte perpendiculairement à l'axe de spin qui pince en un faisceau étroit l'éjection instantanée des positrons issus de la transformation de tous les protons en neutrons effondrés. Bien que toutes ces étapes se fassent instantanément, un observateur les verra s'enchainer en cycle temporaire de Planck. Le trou noir tiendra en entier dans ce centre hexagonal de diamètre équivalant à sa défunte étoile à neutrons, mais il sera en 2D contenu dans chacune des deux faces en vis-à-vis de cet hexagone d'effondrement.
Ce Fleuve d'itérations en graine de noyau atomique, de plus en plus lourd et complexe, démarre donc, de 000) l'HEXAGONE de PLANCK ; pour s'agglutiner en 001) nucléus MATRICE ; puis en 010) Nucléus de PREMIÈRE ITÉRATION ; en 011) Nucléus de DEUXIÈME ITÉRATION ; en 100) Nucléus de TROISIÈME ITÉRATION ; en 101) Nucléus de QUATRIÈME ITÉRATION ; en 110) Nucléus de CINQUIÈME ITÉRATION ; et en 111) Nucléus de DERNIÈRE ITÉRATION. Reste à déterminer pour chaque maille de structuration, l'adéquation avec les opérateurs généralistes du treillis Universel, pour le déclarer Fleuve de construction des noyaux atomiques.


Relations entre champs et cubes quantiques dans un noyau.

Nous allons considérer un verre cylindrique que l'on essayera d'aplatir. Ce cylindre flamberait en six rubans ondulants et serpentants, accolés les uns aux autres par leurs bords. Ces six guirlandes délimitent alors un hexagone dont les frontières divaguent au fil de la compression.
En outre, à chaque extrémité de cet hexagone, nous pouvons considérer la présence d'un sommet interne en creux avec un sommet externe en bosse.
En passant par le processus inverse de flambage, le déflambage de l'hexagone de Planck, nous illustrons ainsi, la relation entre l'hexagone de Planck et son champ quantique (électrique sinon magnétique) ; ceci dans notre espace volumique.
Comme la distance, entre deux extrémités (à couples de sommets, un interne un externe) de l'hexagone de Planck est la plus petite possible ;

Alors ses bords ne peuvent pas être définis en droites euclidiennes, hyperboliques ou sphériques ; d'où les phénomènes quantiques.
En poussant plus loin l'analogie du flambage d'un verre cylindrique sur, cette fois-ci, un encapsulage hermétique de sphères de plus en plus petites, jusqu'au rayon de Planck ; et que l'on flambe cet encapsulage sphérique de la 4 D à la 3 D, alors on devrait obtenir un cube de Planck (aux surfaces topologiques indéfinies) lié à son champ quantique.
  Cette analogie, appliquée au baryon en hexagone de Planck enchâssés dans le réseau diamantaire des noyaux atomiques, devrait permettre aux mathématiciens de fixer les calculs complexes des phénomènes quantiques, en un nouveau mode calculatoire des structures pour les sources quantiques ! À l'identique de la vision d'un noyau atomique, par rapport au noyau central d'un trou noir où le temps y est figé.


En aparté

Le nucléus diamantaire dans un cube de Planck de 2 couples étrangers, chacun en proton ou en neutron, explique l'architecture du rayonnement alpha en un noyau nu de deux protons et deux neutrons. Quant à l'émission de Georges GAMOW, qui voit l'énergie cinétique du rayonnement alpha, en proportion inverse au nombre de protons de l'isotope père ; cet effet tunnel ne serait plus alors que l'isolement d'un Cube de Planck au sein de l'amas de cube en chevauchement ; ce qui permettrait à sa fonction de champs de s'exprimer sur son pourtour comme un boson ; et, donc, l'expulsion en un cube diamantaire de 2 protons et 2 neutrons, de ce noyau !

Par similitude d'architecture, avec le couple de protons dans le nucléus alpha, les électrons peuvent être en couple (par leur spin adossé), sur une même orbite et dans ce cas un neutrino ou deux seraient les bienvenus, pour compléter cette mise en boîte commune. Les paires de Cooper d'électrons doivent utiliser la même construction que la paire de protons dans l'alpha. Alors, un matériau devenant supraconducteur, par l'appariement des électrons conducteurs, doit voir son état perdurer à plus haute température lorsqu'il est soumis à un flot important de neutrino (près d'une centrale nucléaire), et avec diminution immédiate du flux de neutrinos en sortie du supraconducteur. Cette absorption de neutrino, par un supraconducteur, reviendrait à croire à l'oscillation rapide pour de nombreux neutrinos, mais sur une courte distance. Ce serait une preuve, de l'état en cubes de Planck, et du réseau en diamant ; à moins que les paires de Cooper soient plus classiques, avec deux électrons en face à face, dans le même hexagone de Planck, et donc toujours de spins opposés. À vérifier !


Conséquences dans le tableau de Mendeleïev.

        Les deux fois 8 groupes

000) Les ! .
  001) les !.
  010) les !.
  011) les !.
  100) les !.
  101) les !.
  110) les !.
  111) les !.

        8 périodes pour 5 états électroniques

000) Les ! .
  001) les !.
  010) les !.
  011) les !.
  100) les !.
  101) les !.
  110) les !.
  111) les !.

De Circum HUTI, le 28/04/2010, mdf le .